Animation de Noël

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 14:13:12

*Cher père Noël, je souhaiterais …*

Quelle idée ! Ecrire au père Noël, et puis quoi encore ! C’est une légende pour enfants gâtés, un ersatz de Saint Nicolas empli de fatuité.

Et puis, que lui raconter ? J’ai mille et une histoires toutes retraçant une période de ma vie. Mon accession à l’église, ma vie de Cardinal, mon mariage avec Odile, les retrouvailles de ma sœur Etoilfilante …
Qu’est-ce qui pourrait intéresser le père Noël ?

Je sais !

C’est une histoire que je n’ai jamais conté mais qui pour moi fut le début d’une nouvelle vie, une existence avec un nouvel objectif, donner pour pouvoir aider à donner.
Les termes sont loufoques, mais laisser moi vous parler de cet assassin, sans pitié, assoiffé de sang qui …
Hum, pour un conte de Noël, c’est plutôt glauque !
Mais c’est un joli conte de fée, croyez moi :

*Un matin comme tous les autres attendait Pulsat, enfin, il le croyait, jusqu’à ce qu’un message privé attira son attention. Metalgaz, un tueur en série, la bête noire des habitants des terres argentées, me fit part de son souhait de retrouver une armure cuivrée.
Bravant seul les dragons vénérés et vénérables, luttant contre mille morts, il entendit parler de ce mage qui proposait ses services gracieusement en échange d’un peu d’amitié et de compagnie.
Pulsat ne refusait jamais d’aider qui que ce soit, gentils, méchants, connus ou inconnus, pour lui, son idéal était d’aider autrui, sans discriminations.

*Tu ne serais pas allé très loin, mon jeune ami, avec ta résistance. Suis mes pas, ne regarde pas derrière, reste concentré !*

Le mage et le guerrier sanguinaire arpentaient les montagnes, traversaient les océans, empruntèrent des labyrinthes et parvinrent enfin à l’aboutissement de leur périple.

Le guerrier demanda à Pulsat ce qui lui ferait plaisir, de quelle somme d’argent il lui était redevable ?

*je n’ai besoin de rien, ta compagnie et la réalisation de ton rêve fut pour moi la plus belle des récompenses*

Le guerrier fut surpris, tant d’abnégation, d’altruisme…

Les deux protagonistes continuèrent à parler toute la nuit, l’un expliquant que sa vie était magique, sociable et envoûtante ; l’autre comptait ses victimes, détaillait la souffrance infligée à ses adversaires, une vie morbide, mais cependant lucrative, parfois.

Cette nuit là, même le père Noël ne pouvait exhaussé le vœu pieu de Pulsat. Néanmoins, l’inexplicable se produisit.
Metalgaz n’était plus. Il avait laissé sa place à un jeune mage, Osgill, luttant pour le bien, aidant à profusion, sans rien demander, en donnant tout.
Ce jeune homme affable n’avait plus rien du criminel qu’il était auparavant.
Il eut un geste sincère de contrition envers ses victimes, s’excusant souvent, aidant parfois.
Sa nouvelle vie, il voulait la partager avec son ami, son mentor, son père…

Pulsat adopta le jeune homme, il mourut prématurément mais il est revenu aujourd’hui sous le nom d’Aldariel.

*Cher père Noël, je souhaiterais … que cette histoire ouvre les yeux des hommes de ces terres, car chacun d’entre nous regrette parfois ses actes, puis, le temps d’un instant, on oublie, mais le passé ressurgit toujours, inéluctablement, et l’on se croit perdu à jamais dans les méandres de notre confusion.
Je souhaiterais, cher Père Noël, que chaque homme ait la chance de pouvoir revivre une nouvelle vie, sans encombre ni désespoir, oubliant le passé, en laissant derrière lui, ses humeurs, ses crimes afin de renaître libre, heureux.
Cher Père Noël, le seul cadeau qui me ferait plaisir, est le cadeau d’une nouvelle vie pour le déshérité, le pauvre, le miséricordieux. Joyeux Noël à vous et bonne année.*

[HRP] ce message est dédié à Aldariel, un ami de longue date, qui a vécu sous le nom d'un PK "metalgaz", puis est revenu comme mon fils en tant que mage(Osgill). Il a quitté le jeu, presque en même temps que moi et Odile puis il est de retour, sous le nom d'Aldariel, c'est pour lui que j'écris ce soir au Père Noël. Joyeuses fêtes à toute l'équipe d'animation et aux administrateurs de ce jeu. Pulsat[Hrp]

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 14:15:08
Mörphâstex

Voici l'histoire que me raconter mon père avant de me faire dormir.

Il est des pirates qui prennent congés pendant les fêtes. Pour notre ami Jack Rackham, il n’en est rien. Il se dévoue à la bonne cause des enfants orphelins, leur préparant goûter et leur racontant des histoires le soir de Noël…

Un nombreux auditoire se recroqueville autour du fauteuil du Capitaine, sa pipe au bec et son tricorne altier en imposent. Il fait mine de réfléchir longuement puis improvise, comme d’habitude.

- Voyons, où en étais-je resté ? Ma mémoire s’érode avec le temps. Ah oui, : Il était une fois…

Les oreilles grandes ouvertes, les enfants écoutent Jack avec émerveillement.

« C’était un soir de Noël, le Poseïdon avait accosté sur une îles des Philippines, afin de reposer voiles et marins. Quartier libre avait été décrété et chacun était parti vers son festin ou sa galantine. Nous nous préparions à faire de même avec Tim, quand on entendit un fracas épouvantable sur le pont. Nous sortîmes pas à pas, prudence vaut mieux que guet-apens…

Un drôle de tableau nous attendait : Un traîneau de rennes du nord s’était encastré entre tonneaux et toiles, et un grand bonhomme habillé de rouge semblait sonné sur son siège…

- De rouge ? entonnèrent les enfants.

Oui, de rouge. Je m’approchais vers le grand bonhomme pendant que Tim s’occupait de tenir les rennes. Le temps de poser une question, je m’entendis répondre oui à une demande sans détour :
- J’ai la jambe cassée et rien n’y fera plus ce soir. C’est Noël, vous devez prendre ma place Capitaine Rackham…

Il est des moments où on comprend le sens du mot destin. Toute une vie, on attend le grand signal sans jamais l’entendre, et là c’était mon heure ! Je me rendis bien compte qu’il était de même pour deux rennes qui avaient entorses et entailles. Qu’allais-je donc faire…

- Oui, Capitaine, qu’avez-vous fait ? Questionnèrent en chœur les enfants.
- Ben, j’ai appelé mon amie Sara. Des millions de jouets et cadeaux à distribuer, il me fallait de la main d’œuvre. Mon Ange noir a des relations, plein d’anges en fait, des blancs, de toutes les couleurs…

Un ballet d’anges arrivèrent du ciel sous la houlette de Sara et moi-même, et sortirent par enchantement les jouets du coffre du traîneau. Les cheminées du monde, des Philippines en tous cas, furent gavées de cadeaux et Noël eut lieu une fois de plus…

- Vous êtes fort Capitaine, lança le jeune O’Grady. Heureusement que le traîneau n’a pas atterri sur le bateau de Jack Sparrow !
- Ca tu l’as dit ! Qui reprend du Cake au rhum, les enfants… »

Ecroulé sous une demande générale de Cake, le Capitaine Jack s’étonne encore de son imagination. C’est Noël, après tout, et qui sait si une prochaine fois, il ne leur racontera pas quand il fut Zorro, Ivanhoë ou Christophe Colomb…

Mais ce sont d’autres histoires, qu’il racontera à de prochains Noël !

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 14:17:21

Richard Rhal

Cher Père Noël,

Je voudrais remercier une personne que tout le monde connait et je pense pouvoir lui remettre ce remerciement de la part de tout les habitants des Terres Argentée. Tant pour sa générosité que pour le bien qui découle de sa présence.
Cette personne n'est nul autre que vous!
En effet,chaque année, vous revenez et tout le monde redevient l'enfant qu'il était autre fois. On oublie les vis qui se sont insinués dans notre personnalité pendant quelque temps et on retrouve les petits gestes qui guidaient notre enfance: un simple "merci",un coup de main par-là sans aucune demande en retour, juste pour le plaisir d'aider, un soin par-ci par-là,...
Bref les jours de préparations et de fêtes sont vécus dans la bonne humeur,l'entre-aide et la joie de vivre et l'après fête se prolonge dans l'ivresse de bonheur qui nous a envahi.Tout ça grâce à vous!
Dans tout les cas je tenais à vous remerciez pour cette période ou,grâce à vous,tout le monde se retrouve,soit en famille,soit en amis mais dans tout les cas: réuni

Merci à vous et...bonne fêtes à vous aussi!


Richard

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 14:19:11

Nico

C'était la nuit avant Noël, dans la maison tout était calme. Pas un bruit, pas un cri, pas même une souris!

Les chaussettes bien sages pendues à la cheminée attendaient le Père Noël. Allait-il arriver?

Les enfants blottis dans leur lit bien au chaud rêvaient de friandises, de bonbons, de gâteaux.

Maman sous son fichu, et moi sous mon bonnet et vous prêts à dormir toute une longue nuit d'hiver.

Dehors, tout à coup, il se fit un grand bruit!

Je sautais de mon lit, courais à la fenêtre, j'écartais les volets, j'ouvrais grand la croisée.

La lune sous la neige brillait comme en plein jour.

Alors, parut à mon regard émerveillé, un minuscule traîneau et huit tout petits rennes conduits par un bonhomme si vif et si léger qu'en un instant je sus que c'était le Père Noël!

Plus rapides que des aigles, ses coursiers galopaient, lui il les appelait, il sifflait, il criait:

"Allez Fougueux, allez Danseur, Fringant et puis Renarde, En avant Comète! Cupidon en avant, Tonnerre, Éclair, allons, allons Au-dessus des porches, par delà les murs! Allez! Allez plus vite encore!"

Comme des feuilles mortes poussées par le vent, passant les obstacles, traversant le ciel, les coursiers volaient au-dessus des toits, tirant le traîneau rempli de jouets

Et, en un clin d'oeil, j'entendis sur le toit le bruit de leurs sabots qui caracolaient. L'instant qui suivit le Père Noël d'un bond descendait par la cheminée.

Il portait une fourrure de la tête aux pieds, couverte de cendres et de suie, et, sur son dos, il avait une hotte pleine de jouets comme un colporteur avec ses paquets.

Ses yeux scintillaient de bonheur, ses joues étaient roses, son nez rouge cerise, on voyait son petit sourire à travers sa barbe blanche comme neige.

Un tuyau de pipe entre les dents, un voile de fumée autour de la tête, un large visage, un petit ventre tout rond qui remuait quand il riait; il était joufflu et rebondi comme un vieux lutin. Je n'ai pu m'empêcher de rire en le voyant et d'un simple clin d'oeil, d'un signe de la tête il me fit savoir que je ne rêvais pas: c'était lui!

Puis, sans dire un mot, il se mit à l'ouvrage et remplit les chaussettes. Il se retourna, se frotta le nez et d'un petit geste repartit par la cheminée.

Une fois les cadeaux déposés, il siffla son attelage, puis reprit son traîneau et les voilà tous repartis plus légers encore que des plumes

Et dans l'air j'entendis avant qu'ils disparaissent:

"Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit"

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 14:19:54

Krôhm

Père Noël,

Apprendre que vous êtes de plus en plus triste, au fur et à mesure que les années passent, parce que les enfants des Terres Argentées vous envoient de moins en moins de lettres, m'émeut aussi profondément.

Noël, comme vous savez si bien le dire, c'est une fête de Joie, de Bonheur, de Paix, de Partage. Vous devez être heureux vous aussi, surtout en ces périodes de fêtes.

Je vais donc vous compter une histoire, qui s'inspire d'un évènement vrai qui m'est arrivé ...


Il y a de cela quelques années, j'étais un lycéen ordinaire, comme tous les autres.
J'avais des camarades de classe, quelques très bons ou bons copains comme tout le monde à cet âge. Mais il y avait également certaines personnes que j'appréciais moins que les autres. Surtout une en particulier.
Pourquoi cette personne en particulier ? Effectivement, on peut toujours se poser la question, pourquoi on apprécie parfois certaines personnes moins que d'autres ?
Maintenant, avec le recul des quelques années qui me séparent de cet évènement (que je ne qualifierai pas pour l'instant, pour ne pas gâcher le suspens), je peux répondre.
Cette personne, en effet, avait toujours des attitudes méprisantes et méchantes envers beaucoup de personnes alors que ces personnes là n’avaient rien fait pour lui causer des soucis ou des désagréments. Cet individu donc faisait tout ce qui n’est pas permis de faire dans la cour de récréation d'un lycée : humiliations, moqueries, coups, blessures, blagues de mauvais goûts, etc …

Un jour, une de ces blagues de mauvais goût, m’était destinée. Mais cette blague, dont l’auteur était toujours cette même personne et sans le vouloir de la part de celle-ci, tourna très vite à la catastrophe.

Je me suis finalement retrouvé à l’hôpital quelques minutes après cet incident. Je n’avais pas bien réalisé ce qui m’était arrivé. Tout était allé tellement vite ! Ce que par contre je savais, c’est que ma haine avait grandi envers cette personne. En fait, c’était la toute première fois que j’étais la cible d’une de ces blagues … J’étais un des rares à ne pas être embêter dans la classe. Je réfléchissais à tout cela durant ma période de convalescence ...

Finalement, mon état de santé n’était pas critique et j’allais bientôt retrouver toute ma vivacité habituelle.

Cependant, un des derniers jours d’école, avant de partir en vacances de Noël, alors que je terminais de ranger mes affaires pour sortir de l’hôpital et rentrer chez moi, j’eus une incroyable surprise.

La personne qui m’avait envoyé à l’hôpital se tenait devant moi dans ma chambre. Ma surprise fut totale. Je ne m’y attendais absolument pas. Je venais en plus de prendre la décision d’accepter ses excuses, si jamais il était décidé à me les présenter, pour pouvoir avoir bonne conscience et partir en vacances de Noël l’esprit tranquille sans « ennemi ».

Il me salua et se mit à me faire ses plus plates excuses pour ce terrible incident. Il m’expliqua qu’il n’avait jamais voulu que cela tourne au désastre et qu’il voyait plutôt ces blagues comme un jeu. Il m’expliqua aussi qu’il avait des problèmes familiaux, qui s’étaient résolus depuis, et que c’est cela qui l’avait entrainé dans cette profonde méchanceté. Il me proposa même d’arrêter de faire ces bêtises et de devenir son ami. J’acceptai évidemment.

Au fond de lui, il n’était pas méchant. Il s’était même complètement transformé depuis cet évènement. Dans mon incapacité à le faire, il m’aida même à descendre mes affaires de l’hôpital ! Et s’occupa de moi pendant la fin de mes soins !


Je peux maintenant qualifier cet évènement de « heureux » car cela m’a permis d’avoir un véritable ami.

Père Noël, cette histoire pour vous dire qu’il ne faut jamais désespérer et qu’il faut croire ! La preuve, même les choses les plus improbables, les plus impensables, peuvent se produire ! Avec cette personne nous sommes maintenant ami pour la vie alors que cela relevait de l’utopie !

Père Noël, retrouvez votre Sourire, votre Bonheur, votre Gaieté ! Et gardez Espoir ! Sans vous, Noël ne peut plus être Noël !

Merci ! Et Joyeux Noël et Bonne nouvelle année !


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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:16:14

Néoxisme

Petit papa noël,

Le temps est venu de me ressasser mes souvenirs…
Moi, un mage illustre, intelligent et beau, je vais vous compter une histoire pour cette période de fête, sinon je ne vous aurais jamais partagé ce moment de ma vie trop supérieur à bien des hommes et femmes, vous en tant que père Noël vous êtes peut-être au dessus du lot, ce pourquoi je vous offre ce cadeau…Premier point commun nous faisons des cadeaux pour Noël. Deuxièmement, c’est que je reçois tout comme vous beaucoup de lettres qui se distinguent sûrement par leur contenu car dans les miennes, on y loue mes talents, ma beauté, mes nombreuses qualités et j'en passe. Enfin, je m’en lasse quelque peu ces derniers temps. Peut-être m’écrirez-vous un jour pour que je puisse me divertir. Un autre point commun que nous avons ensemble est que je fais aussi rêver les autres et finalement nous aurons partagé un même morceau de papier, moi pour écrire et vous pour le lire.

Pendant que je m’admirais de haut en bas et de bas en haut dans mon miroir comme chaque matin depuis de longues et longues années, un petit enfant entra dans ma chambre.
En effet la sécurité dans les hôtels laisse de nos jours un peu à désirer surtout quand les gens savent que je suis là, je suis un tel homme pour eux, leur modèle, leur héros, leur inaccessible étoile…

Je regarde alors l’enfant qui était désormais sur le pas de la porte, il était ébloui par mon aura naturelle, je voyais qu’il voulait me parler mais il était pétrifié. Son cœur battait trop vite car son rêve le plus cher venait de se réaliser. Il avait vachement de courage pour être venu pour me voir surtout qu’il semblait très jeune.
Je m’approche de lui en lui proposant des bonbons pour qu’il se change les idées.
Ce geste le sortit de son rêve, qu’il avait attendu déjà pendant quelques années…Il prit un bonbon d’un geste délicat, toute fois je vis quand même sa main trembler. Je commence alors une discussion pour essayer de le détendre, il avait fait le premier pas je pouvais donc faire un petit quelque chose de mon côté.

La discussion avait pris, je faisais toute fois attention à mon vocabulaire car à la base très riche. Il pourrait en perdre plus d’un qui essaierait de me parler. J’appris pas mal de chose sur lui, une fois lancé il ne s’arrêtait plus et continua de parler et de me raconter qui y était, d’où il venait, ce qu’il faisait, il me raconta beaucoup de son passé mais restait discret sur son futur malgré mes questions diverses sur le sujet qui m’intriguait de plus en plus, il n’avait pas encore compris qu’on ne me cachait rien à moi, que je savais tout ou arrivait à bout de tout ce que certains appellent secret…
Mais malgré mes efforts mes dons et nombreuses tentatives je ne parviens à rien …De nouvelles sensations s’emparèrent de moi, moi qui était maître de toute tâche que je décidais d’accomplir, je venais de rater à ce but qui paraissait fort simple…Ce jour là et à ce moment là, je compris…Cet enfant m’a ouvert les yeux sur la vie, laquelle m’était restée cachée depuis de longues années. Une vie où en fait on n’est rien si ce n’est qu’un homme avec certaines qualités et aussi défauts, mot qui jusque là me semblait valable que pour parler des autres et non de moi…
Cette rencontre fut le plus beau cadeau de ma vie et aussi le plus déprimant car il mettait à bas toute ma théorie et mes principes, mais m’ouvrait à une vie nouvelle et plus riche que je n’aurais cru…

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:16:39

Roxane

Les hommes, ivres, tournaient autour d’elle, comme des vautours autour d’une carcasse. Dans la pénombre du bar de l’auberge, elle ne distinguait que peu de visage. Elle en reconnu cependant certains qu’elle avait déjà croisés précédemment, et qui, malgré ce qu’elle aurait pu croire, étaient les premiers à tout faire pour attirer son attention. Cette dernière qu’elle avait fermement décider de n’accorder à personne, vu leurs états ; ne voulant causer d’histoires entre ces hommes, pour jalousie.

Après leurs ardeurs passées, elle remarqua un jeune homme aux traits doux et apaisant. Il lui semblait que c’était sans doute le seul homme qui la contemplait de loin.
Sous sa capuche, elle pouvait apercevoir ses yeux qui la fixaient. Sous sa cape, son corps qui la désirait.

Au bout de quelques hésitations, elle s’avança vers lui. Se déhanchant légèrement, elle voulait lui plaire comme il lui plaisait.
Arrivée à quelques pas de l’homme, elle lui prit la main et l’emmena dans sa chambre d’auberge.
Ils discutèrent longtemps, tout en se massant l’un après l’autre, en buvant quelques verres, trinquant aux bonheurs.

Malgré que beaucoup l’eurent cru, il ne se passa rien. Si ce n’est peut-être un baiser échappé, qui a pour responsable l’alcool.

Roxane passa sa plus belle soirée entre les mains de ce premier ami. Une soirée simple mais pourtant inoubliable.

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:17:03

En ce temps là, les B13 étaient redoutables et craints de tous. Leurs battues et chasses à l'homme en effrayait plus d'un, j'étais fort honoré de faire partie de leur grande famille.

J'étais devenu assez expérimenté pour manier la hache des tourments, et le clan m'en avait généreusement mis une à ma disposition afin de découper quelques barbares exterminateurs.
J'avais aiguisée celle ci toute la nuit et le jour levé, je me suis empressé d'aller m'aventurer vers les Hautes terres de Boudok en quête de proies.
On disait des barbares exterminateurs que, seul, ils étaient inoffensifs, mais qu'à plusieurs, ils pouvaient devenir dangereux. Cela ne me faisait pas peur et je traversais désormais leur territoire.
Je me déplaçais sur un chemin boueux qui séparait deux forets, on ne pouvait voir a plus de cinq pas à l'intérieur de celles ci. Ca puait le guet-apans et j'entendais à droite puis à gauche des bruits de branches cassées, j'étais suivi.

En quelques secondes j'étais encerclé de six de ces infâmes salauds. Ils brandissaient leur hache fièrement, comme pour m'intimider, et ne tardèrent pas à sen servir pour me découper. Ils me taillèrent la chair de ma jambe gauche et je vis un bon morceau de mon mollet voler, une plaie de deux pouces vint se former dans mon bras droit et un coup sur la poitrine ensanglanta mon torse.

Un genou à terre, je fis un mouvement circulaire avec ma hache pour me défendre, huit jambes tombèrent, et je me leva dans un ultime effort afin de décapiter mes deux dernier agresseurs avant de m'étaler sur le sol, d'épuisement.

Je regardais le ciel en étoile de mer et c'est là que je l'ai vu, l'homme qui me tendit la main. Le soleil m'éblouissait et je n'ai pas pu distinguer son visage immédiatement. Il m'aida à me lever et j'avais maintenant en face de moi le grand Hélios. J'avais entendu pas mal de choses sur lui avant cette rencontre, plusieurs faits d'armes, et il était très apprécié des miens mais rien a propos de sa générosité.

Il déballa de son sac deux boost extrême, un de force et d'un d'agilité et me les donna. Je n'en avais jamais vu d'aussi puissant. Qui peut bien offrir deux de ces breuvages à un inconnu ?
Je ne le soupçonnait pas mais lui savait peut être, que c'était là le début d'une amitié qui dure depuis maintenant 2 ans.

Le monde ne serait pas si argenté si je n'avait pas connu Hélios, et peut être que jamais vous n'auriez reçu de lettre si je ne l'avais pas eu à mes cotés.

Ike.

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:17:44

Kaijuu

C'était une journée d'hiver. Nous gambadions dans la neige, a la recherche de proies. L'air été gelé, Yajuu et moi devions porter une écharpe épaisse sous notre masque. La visibilité était réduite, et nous étions pris dans le brouillard. L'horizon, teintée de gris et de blanc, était cachée par les flocons de neige qui s'abattaient. tout à coup, un cris se fit entendre, et en compagnie de mon ami, nous nous sommes approché de l'étrange son. Sans doute, il s'agissait là d'un buffle. Les cris étaient de plus en plus forts et au fur et à mesures que notre pas s'accélérait, on distinguait que ce n'était pas un buffle, mais bien un loup. La bête était bloqué sous un arbre qui s'était écroulé avec la puissance du vent emmenant le blizzard. Cet animal divin, si grand est si mystérieux aurait donc des limites à sa toute puissance? Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir côtoyé ses semblables dans le passé, mais il fallait à tout prix aidé la mère louve. Yajuu posa ses grosses mains velues sous le tronc, puis d'un hurlement de force, il souleva le conifère du bout des bras. La femelle était en sang. Je décidai de retirer ma tunique, afin de lui attribuer. La bête était faible. Elle pointait du museau l'entrée d'une grotte. Je dis à mon fidèle bras droit d'emmener la bête au temple, bien que cela gênerai Yurec, notre vampire mais il fallait que la louve soit au chaud. Il s'empressa.

" Enfin, nous aurons de quoi nourrir une armée ! "

Tout fier, je passa la porte du temple avec une bonne dizaine de coqs géants sous les bras. En ces prochains jours festifs, ces poulets tombaient à pic ! Le loup était là, la tête entre les pattes, pret du feu. Elle semblait pensive. Je la regardais, tout en essayant de comprendre quelle était la raison de sa douleur. Notre médecin était bon, même excellent et elle ne se plaignait apparemment pas de sa patte. Une lumière me traversa l'esprit. La grotte que la femelle regardait, peut être avait ce un rapport? Le blizzard faisait rage, mais il fallait tout de même se rendre à l'endroit. J'emmenais la louve avec nous. Yajuu la portait dans ses bras, couverte de linges chauds. Après quelques minutes de marche, nous étions à l'endroit. La louve se jetta des bras de mon frère, et courue tant bien que mal vers l'entrée de la grotte. A l'intérieur de celle ci, une bande de petits louveteaux gambadaient, alors que certains déchiquetaient des restes de viande, qu'on ne pouvait plus identifier. Nous fîmes du feu. La mère, très heureuse de retrouver ses petits, s'installa prêt du foyer et pris quelques minutes de repos. Elle avait récupérer ce qui pouvait lui être le plus cher au monde.

Fier d'avoir accomplit un acte héroïque avec Yajuu, nous nous regardions dans les yeux, souriant. Un frère, sur qui je peux compter, dans n'importe quel moment...

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:20:13
Une merveilleuse rencontre !

C'était un soir de pleine lune, le vent était glacial en ces terres arides que sont Sato. Je me promenais sur ces terres argentées m'étant trop avancé dans ce désert, je me posa pour retrouvé mon chemin. Soudain, trois guerriers à la puissance inégalé surgit de la pénombre. Alors que je croyais tout espoir perdu, un mage d'une sagesse et d'une intelligence que l'on puisse imaginé envoya ces trois combattants dans le cyclone de la mort. Il me ramena dans sa petite chaumière, elle était située dans les hautes montagnes où se trouvait ces magnifiques Prince Dragon Divin. Il alluma un grand feu. Nous nous assîmes autour pour contemplé se sublime ciel étoilé !

Nous faisions connaissance. Ce grand magicien se nommé Miniviet, il avait 3000 ans ! Je passâmes la plus belle soirée sur ces terres ! Nos connaissances étant faites, il me proposa de devenir son élève. Il devint mon grand et fidèle protecteur et je lui fis serment d'allégeance. Puis il me raconta ces merveilleuses aventures tout en bourrant sa pipe... Je l'écoutais avec attention et je compris qu'un lien très fort venait de naître. Le lendemain nous allâmes à la chasse de ces majestueux néphilims. Tout en chassant, il me transmit son savoir sur ces monstres. Nous étions en quête pour pouvoir acquérir ces équipements d'une puissance dévastatrice et maléfique.

Ces armes procurées à celui qui les portaient, une résistance éternelle. Mais nous avions sous estimés la terrible puissance de ces grosses bébêtes. Miniviet après un combat acharné, me laissa place fasse à ce monstre, je lui donna quelques coups, avant le coup final, ce Néphilim se protégea et m'envoya valsé, je retomba près de Miniviet qui me soigna, et je repartis avec lui achever ce monstre ! Après cette victoire nous allâmes dans une auberge pour fêter notre somptueux exploit !



Je vous souhaite de bonnes fêtes !


Cordialement Inola.

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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:21:17
Bonjour Père Noël,

J'hésitais à vous écrire. Tant de gens vous écrivent, alors qu'est-ce une lettre de plus ou de moins ? Mais si je vous écris, c'est aussi pour moi. Car votre tristesse, je la partageais. Même si elle était autre.
Je vais prendre un peu de votre temps et vous conter comme je le puis les sentiments qui ont pu me traverser et continue de me traverser de part en part.

Je suis d'une nature poète et trouve mon inspiration au sein des sentiments qui me traversent : Haine comme Amour. Plus les sentiments sont durs, extrêmes, douloureux, plus j'ai une inspiration. Il fut un temps où j'ai été marié à celle qui était mon coeur, mais notre mariage n'a pas résisté à un changement de personnalité, à une certaine fatalité aussi. Puis, elle a disparu à jamais dans les limbes des profondeurs glacées de la Terre. Ce qui restait de mon coeur fut brisé.

Autrefois frivole, un jupon suffisait à me relever de mes peines. Mais quand on a autant partagé, ce n'est plus quelques rencontres qui vous aident. Mon inspiration est retombé comme un soufflé. Ma joie s'est envolée. Je me suis plongé dans le travail, m'abîmant dans des projets toujours plus compliqués les uns que les autres. J'ai survécu, j'ai traversé des moments difficiles, des doutes, mais surtout une immense tristesse. J'en étais le premier responsable et le savoir m'attristait encore plus. J'aimais boire un coup et me retrouver joyeux autour d'une table avec des compagnons. Mais après cela, l'alcool me rendait triste et faisait fuir ceux qui m'entouraient.

Je devenais aigri sans même m'en rendre compte. Aigri d'avoir perdu ce que les Dieux semblaient m'avoir offert et retiré d'un coup. Je me suis laissé allé.
Tout doucement la nature positive de mon être repris le dessus, j'étais toujours aussi triste, mais la chute ne s'accentuait plus. J'ai mis toute ma hargne dans les projets des autres et leurs réalisations m'est apparues comme un bienfait. Léger, mais consolant.

Un soir que je me suis arrêté au bord d'un cours d'eau, ej l'ai revu comme autrefois. Pas celle qui avait déchiré mon coeur. Non une autre qui avait attorée mon regard mais que j'avais du laisser partir au bras d'un autre, au bras d'un grand dragon. Une guerrière farouche qui ne se laissait pas approcher facilement.

Ma prose ayant disparue autrefois, je ne comptais pas sur elle pour attirer son regard. Mais contre toute attente les premiers mots me vinrent à l'esprit sans que j'eusse besoin d'y réfléchir. Au début, ma voix était hésitante, le bruit des autres couvraient mes paroles. Mais je pris de l'assurance jusqu'à en imposer aux diverses personnes. Mais pas à celle que je voulais atteindre. Je voulais l'étonner, la surprendre. Mais, elle qui avait tout vu, par quoi pourrais-je encore l'étonner ?

Je ne me suis pas posé de question, j'ai continué de parler, adoptant sans le savoir le ton de la poésie, charmant toutes les demoiselles présentes, dans le seul but d'en atteindre une. Après bien des paroles, elle posa son regard sur moi. Je l'avais touché. Dès cet instant, nous pourrions commencer à nous parler sans que mes paroles soient ignorées.

J'entrepris de la saluer et de la complimenté sur sa beauté sans trop me dévoiler, sans aborder mes sentiments passés. Juste parler, refaire connaissance. Nous nous connaissons sans nous connaître réellement. On se croise, on se salue, cela s'arrête là. Maintenant, nous apprennons qui nous fûmes, qui nous sommes, nous écoutons l'autre. Ma tristesse s'est envolée avec nos discussions.

La blessure trop longtemps ouverte, s'est refermée. La force qui émane de son être m'a fourni suffisamment en apaisement que pour dispenser de l'apaisement autour de moi à mon tour.
C'est une farouche guerrière dont nos voies se sont croisées à nouveau. J'ai opté pour suivre son chemin, puisqu'elle m'y a autorisé. Je mets dorénavant mes pas dans les siens, tout en la laissant libre de toute son autonomie. Je ne répète pas les erreurs du passé, car l'avenir me tend les bras.

C'est la joie qui m'ouvre son coeur contre la tristesse qui a refermé le sien sur mon ancienne douleur, sur une disparition.

Père Noël, j'espère quand cette nouvelle année qui s'annonce, vous trouverez aussi la joie que cette personne m'a fournie et que votre tristesse restera passagère. Je vous souhaite de rencontrer vous aussi votre Rubis et de vous y accrocher. Car rien n'est plus précieux que ce Grenat, que celle que j'ai rencontrée.

Père Noël que votre année vous soit douce,

Claudio


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Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:24:24
Jah






Membre supprimé
Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:29:17

Grenat di Alexandros



Membre supprimé
Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:31:01
$hruikahn

Mon corps vaquait sur les terres froides de dusso, dépeuplées depuis plusieurs
semaines maintenant, et a mon plus grand regret d'ailleurs..
L'air frais me faisait du bien d'habitude, ces derniers temps il avait bien
gelé, un peu trop même.
Etais-ce ce grand froid qui faisait fuir la populasse?
Peut etre pas, après tout les différents peuples encore vivants n'étaient pas
si faible et trouillards.
Enfin, les temps changent, il fallait bien que cela arrive un jour.
Continuant ma marche solitaire, je fut stopper par une colombe qui vint se
poser près de moi, je lui porta une attention qui m'était inhabituelle, et
remarque alors qu'un message était accroché a sa patte.


Je ne te dévorerais pas aujourd'hui toi.

Otant le fin papier, je déroula le parchemin et me mit a lire.
Après quelques minutes, je le plia et le rangea dans ma bourse.


Un message de cette assistante, Ah la belle assistante du père noël!
Dommage que le charme soit briser par les dires..
Bon, apparament papa noël est triste de n'plus recevoir de lettres,
par Ankavos nous ne sommes plus des enfants!


Je sortit a nouveau le parchemin, et relis les dernières lignes.

Remercier une personne qui nous est chère, ce vieux brigand ne veux plus
nous offrir de cadeaux, mais ou est donc l'esprit de noël!


Après quelques secondes de réflexion, je me reprit.

Il n'a pas de si mauvaises idées le vieux bonhomme rouge en fait, celà pourrait
m'occuper un peu que de me vider mes pensées..
Ah j'ai trouver la personne parfaite pour ceci!


Sortant un parchemin vierge et une belle plume, tentant tant bien que mal de me souvenir
quel aspect devait avoir une lettre, je me mit a rédiger.



" A un vaillant homme,
Un courageux guerrier,
Un frère d'arme,
Un ami.. A mon parrain.

Toi qui m'a tout enseigner et qui m'a toujours protégé.
Avec qui je n'ai passer que des moments merveilleux, que ce soit en plein milieux
d'une bataille ou autour d'une bonne bière a la taverne des différentes forteresse
ou nous avons mit les pieds, et ankavos sait qu'il y en a eu bon nombre!
Tu m'as toujours montrer la voie a suivre, et d'une confiance aveugle je t'ai
suivi, sans même réfléchir aux conséquences, sans même me soucier de ma propre vie
plus que la tienne, sans peur et avec les mêmes convictions :
Que tu fut le plus beaux, que ton honneur n'a toujours pas d'égale et que tu
seras a jamais le meilleur des hommes que j'eut la chance de connaître..
Ma vie, en grande partie je te la doit, car sans toi je ne serais pas.
Si tu n'avait pas été là je serais certainement mort a l'heure qu'il est,
peu d'autres auraient eu la même pitié que toi devant mon corps recroquevillé.
Un être faible, que tu as pourtant décider d'épargner, et a ton image d'en faire
un puisant guerrier.
J'affirmerais presque que je ne vis que pour toi, chaque mot émanent de toi
me donne la force et le courage de surmonter les épreuves, ton image ne me quitte jamais
et grace a elle j'avance sans me retourner et me sens puissant.

Le jour ou tu es partit pour le monde des morts m'a profondément perturbé, j'en devint fou,
étant un réel danger même pour mes proches, une folie telle que j'en mis fin a mes propres jours..
Je pensais alors être libéré de tout mes malheurs, mais ils furent pire encore, car je ne
pouvais exister loin de toi, et là ou je pensais de retrouver tu n'y étais pas.
Puis tu es revenu, plus puissant et plus resplandissant encore!
Nos âmes se sont a nouveau croisées, et sans hésiter tu as tout fait pour que je retrouve
notre monde, celui des êtres de chaire et d'os, plus triste et démoniaque encore que nous
ne l'avions déja connu, un monde berçé par la colère..
Tu m'as offert cette nouvelle enveloppe, encore une fois tu m'as tirer des griffes
de la mort, encore une fois tu m'as sauvé.
Mes premières heures a tes cotées, je m'en rappel encore comme si c'était hier..
Mes premières leçons, mes premières blessures, mes premiers vrais éclats de rire..
Puis un beaux jour, devant toi je tua pour la première fois, et a cet instant ma vie a
pris un autre tournant, car ce jour je devins un homme.

Tu as tout été pour moi, le père que je n'ai jamais eu, un instructeur, un ami, une
personne qui m'a aimé alors qu'il n'y avait pas lieu d'être..
Comment te définir? Il n'y a pas de mot!
Honneur, courage, vaillance, bonté.. J'en passe! Tout ces adjectifs te collent si bien
Dans des milliers d'années restera graver dans les mémoires de toutes races comme le
guerrier le plus respecté que le monde ai connu.
Sur les chemins de la vie tu as été mon plus fidèle ami, tu es plus qu'un repère pour moi, tu es mon deuxième père.
J'aimerais tout simplement te remercier d'être là, te remercier d'être toi, Ô Hélios mon parrain.
Sache que je t'aime, merci pour tout.

Ton filleul, fier d'avoir vécu sous ta tutelle, $hrui'. "


Quelques larmes coulèrent sur mes joues, ce qui n'était encore jamais arriver a un fidèle
d'Ankavos. Jamais je n'aurais de honte pour ces larmes, car elles en valent la peine et
accompagnent ma signature sur ce vieux bout de parchemin destiné a notre bon vieux père noël.
J'enroula soigneusement le petit papier avant de l'accrocher a la patte de la belle colombe
qui m'avait apporter la requête de l'assistante.
Je serra le poing et la bête vint si poser dessus, je caressa lentement sa tête, puis elle s'envola..


Puisse Ankavos bénir cette missive.

Je posa mon regard sur le ciel étoilée, et la haut a travers les constellations, se dessinèrent les traits de
mon cher parrain, veillant constament sur moi.


Que la paix t'accompagne, Ô mon Hélios.

Membre supprimé
Il y a 14 ans | Le 24 Jan 2010 20:38:35

Aida

Bonjour,

vous voila ma lettre.

Faites en bon usage

Que dire ? Que raconter … Une personne qui m’était chère, qui m’est chère … En fait, il y a bien une personne, mais pour cela, je dois vous raconter tout depuis le début. Cette histoire commence comme de nombreuse par « Un jour ».
Un jour, j’ai rencontré une personne. Au cours d’une soirée. Arrosée, mais sans plus. Tout était au rendez vous pour passer un bon moment, un peu d’alcool, notre ami Jah avait même fait le déplacement, ou nous avait plutôt permis de nous élever à sa hauteur. Nous nous sommes rencontré comme ça, dès les premiers échanges nous nous sommes plu. Complémentaires. Nous ne tardions pas à devenir inséparables. Elle et moi. Il y avait en nous quelque chose de fusionnel, qui ne tarda pas pour moi, à devenir plus qu’une simple relation d’amitié. L’amour naissait. Sans m’en rendre compte. Du moins sans que moi, je m’en rende compte. Car si je parvenais à me duper sans le vouloir, tout notre entourage l’avait perçu. J’en étais follement amoureuse. Elle ? Je ne le savais pas. Je savais seulement qu’elle coulait des jours heureux avec sa moitié. Brisée par cette découverte, j’ai préféré me taire. Car vivre avec toi à mes côtés, même si tu es accrochée au bras d’un autre, est toujours plus facilement envisageable que vivre sans toi. Un jour j’ai enfin eu le cran de te le dire. Ce jour, mon cœur de battre s’est arrêté. Ce jour, tu m’as dit que tu m’aimais. Ce jour, tu es devenue ma moitié. Ce jour à jamais restera gravé. Car depuis ce jour nous ne nous sommes jamais séparés. Elle et moi.
En cette période de fête, je tenais à te remercier une nouvelle fois du bonheur quotidien que tu m’apportes. Mais aussi a en faire bénéficier toutes les personnes qui liront cette lettre pour leur dire que nul espoir n’est perdu. Que c’est aux pires moments de notre histoire, que les plus beaux évènements se produisent, et qu’il n’y a pas plus belle période que noël pour que cela se fasse.

Pour toi.

Ta moitié.