Voici les différents récits que le Père Noël a reçu quant à l'animation qui consistait à lui remonter le moral en partageant un instant d'amitié!

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Le vampire prit part du message de l'Assistante du Père Noël et décida de remonter le moral d'une personne qu'il n'a jamais rencontré puisque le Père Noël est une légende. Il rangea la lettre de l'Assistante, prit une feuille blanche, des crayons de couleur et commença à raconter une période joyeuse au Père Noël.

Chers Père Noël,

Je vais vous raconter ce soir le jour le plus joyeux de ma vie. C'était pendant les vacances d'été 2008, à ce moment la j'eu décidé de jouer avec mes enfants. Nous étions partis nous balader en forêt quand j'eus l'idée d'aller me baigner. Mes enfants étaient content, nous partîmes chacun de notre côté afin de nous changer et hop tout le monde à l'eau. Les enfants riaient, j'étais le père le plus heureux du monde. Ma fille me lança toute sorte de sort magique et pour lui montrer ma puissance je lui en renvoyait des plus forts que les siens. Mon fils essayait de me couler maispar chance j'arrivais toujours à l'éviter et à le couler mais pas profond bien sur ce n'était que des enfants. Nous avons joués toute la journée, ils m'éclaboussais et je faisais pareil.

La nuit tomba tout à coup, nous sortâmes de l'eau, nous sechâmes et je décida de les emmener dans le ciel vu que j'étais un ange à l'époque. Je leur fit découvrir la douceur des nuages, la beauté du ciel étoilé, ils avaient les yeux qui brillaient j'étais à nouveau le père le plus heureux et le meilleur des papas pour eux. Nous restâmes assez longtemps et puis il fit froid. Nous redescendîmes et nous rentrâmes à la maison. Je préparais à manger pendant qu'ils regardaient la télé. Après avoir mangé nous jouâmes à un jeux en famille devant la cheminée pour nous rechauffer.
Puis nous partîmes tous nous couché l'esprit tranquille, et le sommeil nous emportâmes avec lui.

Le vampire sourit, mit la lettre devant sa cheminée et partit se coucher espérant que cette petite histoire plaira au Père Noël

Chèr Père Noël,


Dans ce temps, plus froid, plus dure parfumer d'un douce fraîcheur de neige, le jour de Noël approche.

Assis au pied de son sapin, Tidus regarda son amis d'enfance Samael.
Avec le sourir au lèvres Il dit:

"Tu te rappelle Samael, Quand dans la cour des grands Je me suis fait attaquer par Jim Clark et sa Bande. Tu etait assis dans ton coin et en me voyant verser une larme tu t'ai lever d'un aire digne d'un roi. et tu es venu prendre ma défense.
La j'ai tout de suite compris que ton amitié était très chère a mes yeux. Que l'amitié que j'éprouverai pour toi ne serait que chaque jour de plus en plus forte."

*Le regard sur Samael en train d'écrire sa lettre au Père Noël, Tidus versa une larme.*

Sur sa lettre était écrit tout simplement,

"Père Noël, Je ne vous demande pas charité, Juste la protection de mon amis le plus chère dans ce monde. La personne que j'ai toujours porté dans mon coeur. La personne qui ma aidé a vivre "Samael". Père Noël je ne demande n'y cadeau, ni argent juste son bonheur. Merci a vous Très Chère Papa Noël."


*La nuit tombant, Tidus ferma les yeux et s'endormit lentement dans le bras de son meilleur ami."





Tidus

Chers parents,

je vous remercie du fond du coeur. Non, du fond de mon âme.
J'ai apprécié tous les moments partagés à table lors des fêtes,
j'ai retenu le plus important de ce qui s'appelle la vie.
C'est aimer. Quand on aime quelqu'un, c'est qu'on l'apprécie.
Vous m'avez aimé, et je vous en remercie.
ce que j'ai aimé le plus, c'est les sorties en famille,
mais après je suis parti sur les terres d'argents.
Celles-ci sont très grandes, j'y ai grandi là-bas.
Enfin bref, je vous suis reconnaissant, et je ne pourrais pas le nier.
En espérant que vous aller bien fêter et partager une bonne année.

TheWhiteMage, Votre fils, qui vous remercie.

Bonjour vieux barbu !

Bon, constat est fait : je n'ai personne à remercier !

L'assistante veut qu'on parle d'un ami, d'un pur moment de bonheur ! Très bien, je peux raconter mon quotidien ! La seule amie que je connaisse est mon épée !

Un frère disparu rejoindre les siens au ciel,
Un autre ivrogne et ermite qui préfère la bière à sa famille,
Des amis tous disparus ou oubliés,
Des RATS entérinés dans leurs terriers,
Des souvenirs enterrés...

Et c'est pas plus mal !
Au moins je vis en solitaire, mercenaire à mes heures perdues.
Je croise les âmes et elles rencontrent ma lame
Un coup dans la poitrine et on en parle plus !

Ah, ça c'est de l'histoire avec mon amie ! On s'éclate ensemble !

Toutes mes confuses vieil homme, mais l'espoir, la joie et l'amitié ne sont plus dans toutes les chaumières ! Considérez moi comme le grinch, l'abominable femme des neiges, comme bon vous semble ! Mais au moins je suis libre !

Je ne sais même pas pourquoi je vous écris cette lettre, mais ne vous y méprenez pas, ce n'est pas un pas vers la Rédemption. Je ne suis pas sage, je ne l'ai jamais été et ne le sera jamais !

Fêtez donc votre Noël que je respecte, mais sachez juste que certains s'épanouissent dans la souffrance et la peine !

Je n'aime que ma lame, et pour ce qui est des remerciements, Non-merci !

Tati'

Je vais vous conter l'histoire d'une personne ô combien importante pour moi qui vit encore aujourd'hui sur ces terres, tel un être immortel!


Tout petit déjà, Xavier était destiné à une vie hors du commun. Un jour, alors qu'il était entrain de jouer à dégomme blob, un groupe de grands garçons du village voisin essaya de l'embêter. Ceux-ci étaient au nombre de quatre. Qu'ils étaient fiers, qu'ils étaient contents d'avoir trouvé une proie facile leur permettant de montrer leur supériorité. Xavier, toujours occupé à trancher de pauvres petits blobs grâce à un couteau reçu de son arrière grand père, ne vit pas arriver le piège et se retrouva tenu par un tiers de demi-douzaine de garçon.
Tout enfant normal se serait mis à pleurer et aurait reçu les coups comme un pauvre nigaud. Mais Xavier n'était pas un enfant normal. En deux temps trois mouvements, les quatre gaillards se retrouvèrent tous au sol, le crâne ouvert pour l'un, les tripes sortant pour un autre.

Ô petit Xavier, comme tu es fort!







Étant devenu jeune homme, notre cher Xavier entra comme il se doit dans un groupe de brigands. Lors d'un jour de travail comme les autres, notre ami était sur le point de tuer une fillette lorsque la mère de celle-ci s'interposa, le suppliant de la tuer elle à la place de sa pauvre fille qui n'avait rien fait de mal et avait encore toute sa vie à vivre. Les sourcils froncés, Xavier baissa son épée et eut un long soupire.

« Il ne sera pas dit que Xavier le Fort est sans Cœur ! »

Et, d'un petit mouvement de poignet, la lame bien aiguisée trancha dans un craquement macabre le cou de la pauvre femme. Lorsque la tête décapitée roula sur le sol et que des gisements de sang sortirent du trou béant, la fillette se mit à hurler et pleurer. Xavier s'accroupit à côté d'elle et posa une main protectrice sur son épaule.

« Ne pleure pas petite, c'était sa volonté, tu devrais être heureuse. Et arrête de crier ainsi, si mes amis te trouvent tu te feras violer et tu seras vendue comme esclave ! Va, petite, cours le plus loin et le plus vite que tu peux! »

Un sourire de contentement sur le visage, Xavier regarda la silhouette de la petite fille disparaitre entre les arbres de la forêt toute proche. Mais soudain, il écarquilla les yeux.

« Pas par là petite!!! Cette forêt est infestée de loups! » Malheureusement, la pauvre enfant ne l'entendit pas et se fit dévorer par les bêtes sauvages quelques minutes seulement après.

Malgré tout, ô jeune Xavier, comme tu es bon et généreux!






Bien des années plus tard, Xavier devenu le chef d'un immense groupe de scélérats. Un soir, après une attaque de village qui fut prospère à souhait, deux de ses hommes vinrent le trouver. L'un d'eux en effet, avait soi disant volé un diamant et une femme à l'autre. Ils espéraient que Xavier pourrait trancher la question.


« N'ayez crainte mes fidèles, car Xavier est juste et sait ce qui est bon pour ses sujets! »


Il ordonna qu'on place le diamant dans ses trésors personnels et qu'on amène la femme dans la cage qui contenait son harem d'esclaves.

Les deux malfrats eurent tôt fait de protester en voyant leurs biens disparaitre de la sorte.

« Vous vous opposez à une décision de Xavier le Juste? Soyez bénis car Xavier est miséricordieux et il va vous remettre dans le droit chemin ! »


Il fit un petit geste de la main, et deux gardes sortirent leurs armes grâce auxquelles ils transpercèrent le ventre des deux voleurs.


Ô grand Xavier, comme tu es juste et pieux!






Une fois sa richesse assurée pour des générations, Xavier se fit construire un palais aussi grand que les plus grandes capitales actuelles. Toutes ses richesses de guerre s'y trouvèrent, richesses aussi bien matérielles qu' humaines.

Il arpentait quotidiennement les couloirs de son palais où une multitude de jeunes filles dans la pleine fleur de l'âge se pressaient pour le toucher et le complimenter sur sa beauté et sa force.

« Arrêtez voyons, arrêtez, je ne suis qu'un simple homme vous savez, je n'ai rien d'exceptionnel... »

Un jour, alors qu'il se prêtait à son activité préférée, il aperçu une jeune fille qui mettait peu d'entrain à l'aduler. Elle rechignait à l'idolâtrer. Xavier se pencha vers l'officier de sa garde personnel en désignant la dite femme puis continua son chemin, un sourire gêné sur les lèvres tout en disant qu'il n'avait rien de fabuleux. L'officier s'avança vers la jeune fille désignée avant de sortir une dague qu'il vint ensuite planter à l'emplacement de son cœur .


Ô, fabuleux Xavier, comme tu es beau et pourtant si modeste!


Voici donc mon récit racontant la vie d'un très cher ami! Je lui souhaite beaucoup de bonheurs car il est rare d'avoir une personne telle que lui sur ces terres. Longue vie à Xavier le Fort, Généreux, Juste, Pieux, Beau et tellement Modeste! Que son nom soit connu et reconnu de tous, il le mérite pleinement !



Je vous souhaite quant à vous, très cher Père Noël, un bon courage pour votre journée de travail annuelle !

Cordialement,
Kantjil.

Linoa

Cher père noel

Il y a déjà deux noël de sa, j'étais bloquée sur les terres gelées de Dusso. la température y était glaciale.
J'observais un troupeau de vampires, ils se comportaient étrangement, ils tournaient en rond, se balançaient et faisaient des gestes très étranges. Le froid devait les rendre fous

La glace avait figé mes botes sur le sol, je ne savais pas que faire. Je m'obstinai a lancer des boules de feu sur la glace mais rien n'y faisait. Je n'arrêtais pas de penser a ceux que mes amis devaient faire en attendant le passage du père noël, ils étaient surement bien au chaud a festoyer.

Un vent glacial se mit a souffler, je ne sentais plus le bout de mes bras. Une personne sorti de la pénombre et me hissa sur ces épaules. je n'avais même plus la force de me défendre. Quelques minutes plus tard elle e déposa a terre, de nombreuses personnes étaient réunies autour de moi, mais je n'arrivais pas bien a es distingués a cause de l'obscurité.
Elles tournaient ceux qui créait une forte chaleur qui me réchauffait, puis une de ces personnes s'approcha de moi, quand soudain je vis ces deux grandes canines. Elles s'approchaient de plus en plus de mon coup, je ne tremblais plus de froid mais de peur, puis elle me chuchota a l'oreille "voudriez vous boire quelque chose ?" . Ils savaient donc parler, je dis oui de la tète.
très rapidement ils m'apportèrent une boisson chaude, c'était succulent. Alors que je reprenais des forces j'entendis un grand bruit dans la neige, un grand homme rouge sorti de l'obscurité un grand sac sur l'épaule.
Il déposa quelques présents et s'en alla aussitôt, les vampires étaient si excités.
Nous discutèrent de leur point de vue sur la race humaine, ils avaient des théories très avancées, c'était très plaisent de les écouter
Ce fut le plus beau noël de va vie

Krys

cher Père Noël ,

J'ai appris que vous aimiez entendre de belles histoires d'amitié , alors pour vous remercier de votre générosité, je viens vous conter la mienne, j'espère quelle vous plaira et vous fera plaisir, en tout cas sachez qu'elle est réelle !

Tout a commencé peu de temps après mon arrivée sur ces terres , il faisait une chaleur torride et je luttais longtemps à mains nus contre les blobs pour survivre . Peu à peu je parvint a m'enfoncer plus en avant sur Baduk , je parvenais doucement à grandir et une terre nommée Kédok hantait mes pensées, j'avais hâte d'aller fouler ses terres ... je ne me doutais pas encore de toutes les difficultées que j'allais y rencontrer , mais ce jour arriva enfin et mon sac sur l'épaule, toute fière, j'entrepris le voyage .

cela faisait déjà plus d'un mois que j'étais sur les terres argentées et ma timidité m'avais laissé dans une grande solitude jusque là, ça ne me dérangeais pas vraiment, mais un jour, je décidais de mener à bien la quête des dragons, fière d'avoir déjà sur moi deux écailles vénérables . C'est alors qu'en écoutant discrètement parler les gens sur la place publique, j'entendis que ces écailles que je gardais précieusement... j'allais les perdre et devoir retourner affronter les dragons qui m'avaient donné tant de mal ...

Je pris mon courage à deux mains et pris la parole sur la place publique, pour demander confirmation de ce que je venais d'entendre ... L'accueil fut des plus froids, personne ne répondit à mon timide "Bonjour" ! je recommençais quelques minutes plus tard, et là une jeune fille m'agressa très vite, me disant que je devais être sourde puisque je faisais répéter ... j'échangeais alors quelques phrases froides avec elle puis me détournais de cet endroit si peu accueillant , déçue ...

C'est à ce moment là qu'un pigeon arriva jusqu'à moi, "il" avait tout suivi et me proposa son aide , me donna plusieurs conseils et me donna même l'adresse de son antre où je fus invitée à me rendre en cas de besoin quelconque !

Mon coeur fut un peu réchauffé par ces quelques mots et je retrouvais le sourire grâce à "lui"

Deux jours aprés , en difficulté sur Kédok , je l'aperçut à nouveau sur la place publique, et je m'approchais de lui timidement , lui expliquant que , j'avais un peu d'argent, mais il me manquait mon bâton , hélas seule je ne pouvais pas allé l'acheter, le magasin se trouvant sur Boudok, et mon niveau ne me permettais pas d'y aller moi même ... je n'eus pas finit ma phrase que déjà "il" était parti le chercher pour moi, à son retour il me donna rendez-vous et laissa le bâton tant convoité au sol , disparaissant avant que j'ai eu le temps de mettre la main sur ma bourse pour le payer ...

La générosité de cet homme qui ne me connaissait pas me toucha profondément !

Les jours passaient, et je m'entrainais régulièrement, "le" croisant parfois sur la place, toujours un mot gentil pour moi, je retrouvais le sourire à chaque fois !

Je remarquais vite en l'entendant, son coté "provocateur" , cherchant souvent la bagarre, dans l'ombre je souriais car je connaissais le bon ceur qui se cachait sous son armure, mais il le cachait autant qu'il le pouvait .

Un jour que j'allais pas très bien , il le remarqua tout de suite et me laissa m'isoler un peu, le matin à mon réveil il était là , cognant très tôt à ma porte , arborant son plus beau sourire , il me dit :

" allez hop , un peu d'air vous fera le plus grand bien , je vous emmène, posez pas de questions "

ma main serrée dans la sienne , je courrais derrière lui avec mes petites jambes, il s'arreta à la banque, prenant suffisamment d'argent pour payer le voyage pour deux personnes et m'emmena voir le Grand Oiseau d'Or qui transportait tous les jours beaucoup de voyageurs. Assise derrière lui, mes bras serrés autour de sa taille, mes cheveux volants derrière moi, les yeux fermés , je retrouvais une fois de plus le sourire ...

L'oiseau nous déposa tous les deux sur Boudok , sans lâcher ma main une seconde il tu a tous le monstres se trouvant sur le passage et m'emmena sur un endroit remplis de fourreux, qu'il tua facilement, puis il me fit assoir et partit ramasser quelques bout de bois dans la forêt de Sherwood tout prés .. lorsqu'il revint les bras chargés de bois, je lui sourit timidement, j'étais bien seule avec lui dans cet endroit, l'homme le plus bourru de ces terres était si gentil avec moi , poli, courtois, prévenant , une grande amitié était née entre nous et je ne le savais pas encore à ce moment là , mais c'était une amitié sincère et durable, sans rien attendre en retour ni d'un coté ni de l'autre ...

Il alluma un grand feu pour nous réchauffer et aussi pour cuire quelque morceaux de viande qu'il avait aussi ramené ! nous avons passé une merveilleuse soirée assis là tout les deux auprès du feu, discutant de tout, buvant un peu de bière aussi qu'il avait emporté, puis le sommeil me gagnant il me couvrit de peaux de fourreux et veilla sur moi jusqu'au matin ...

Krocker me réveilla doucement en me tendant un café bien chaud qu'il avait préparer avant mon réveil ...

Une belle et éternelle amitié était née entre Krocker et Krys , une amitié sincère et indestructible ... je savais le grand coeur généreux qui se cachait sous ses airs provocateurs .... j'avais compris Krocker .


Voilà Père Noël , j'espère que cette histoir vous a plu, sachez en tout cas que rien n'a à ce jour entâché cette amitié, bien au contraire !

je vous souhaite une bonne continuation, et j'espère que vous lirez pleins de belles histoires d'amitié !

Krys

oo-shadow-oo

L'amitié

Lorsque je n'étais que lvl 23 airant comme un verre sur Baduk, je quémandais un peu de po car j'étais dépourvue de richesse quel conque. Je demanda à une personne qui ne faisait que passer mais sans le savoir m'a rendu un immense service. Il m'a donné plusieurs potion de mana et ma annoncer d'une voix expressive : « Prends et fais en bonne usage ». Depuis ce jour on est devenu amis, il me donne des équipements pour pouvoir aider les gens à mon tour et j'espère pourvoir un jour lui donner un coup de main comme il l'a fait pour moi un jour qui m'es si chère car c'est grâce à lui aujourd'hui que je réussis si bien dans la vie. Et vous voulez savoir qui est ce personnage qui doit vous sembler si extraordinaire et bien c'est lepistolero.


Merci et désolé de ne pas avoir respecter la consigne et j'espère que cette deuxième lettre vous conviendra.

Fernandez Jordan

Si tout le monde est unique personnes ne l'est.

Que l'on parle de moi en bien ou en mal ,
L'important c'est qu'on parle de moi.

Elraz

Me voici depuis quelques jours à ruminer dans ma chambre, à regarder la neige tomber inlassablement. Une mission nous avait été donné par l'assistante du Père Noël, je pris la plume avec hésitation. Se remémorer le passé n'amène généralement rien de bon, mais je peux bien subir quelques souvenirs en échange du bonheur d'un homme qui a voué sa vie à notre joie. Je m'y atelais donc..

"La pluie martelait nos visages, il fallait en finir une fois pour toutes. Aucun des deux n'arrivait à prendre l'ascendant sur l'autre. Je n'arrêtais pas de me protéger derrière quelques barrières magique pour me protéger, mais leur efficacité n'escomptait pas le résultat voulu. Elle chargeait sur moi, dagues en mains, j'eus juste le temps d'esquiver et profitant de son déséquilibre je l'envoya valser à l'aide d'un sort de répulsion.

Quelques secondes plus tard, elle se retrouvait tenu au sol, une ancienne épée à deux main, fine avec quelques runes inscrite sur la lame. Je la regardais dans les yeux. "Voilà la fin de ces duels sans fin ?" me disais-je. "Après tout ce temps...Après le nombre de fois où elle est venue me défier en espèrant prendre ma vie, après tous ces match nul ?..."

L'eau coulait le long de son visage, sa beauté était sans pareil. Ses yeux couleurs noisettes ne me quittaient pas, elle ne disaient point mot. Je n'arrivais pas à savoir que faire... Mon corps réagit plus tôt que mon cerveau, et je me retrouvais les lèvres contre les siennes. De ce que je me souviens, elle ne semblait pas trouver cela désagréable mais ce geste osé la fit réagir brutalement au point de me suprendre, me repousser et de s'enfuir à toutes jambes.

Depuis je l'ai revu plusieurs fois, ces moments étaient tout autat chaotique. Comme la fois, où elle avait essuyé de terribles dommages dans un combat, elle avait fini par s'évanouir sur la surface d'un petit lac. Je passais par hasard par ici...- en était-ce vraiment un- je me dépêcha de la soigner avant qu'il ne soit trop tard. Sa réaction fut un des habituelles, elle cherchait à me tuer mais elle se décida de ne point m'attaquer [Mince, plus d'encre...hop on refait le plein.] pour cause d'une dette envers moi.
Je dois dire qu'il y a eu nombre de fois, par la suite, où je la taquinais, forçant légèrement mon immunité qui subsistait juste à son bon vouloir. Mais j'étais heureux, bien que parfois nos rencontre étaient mouvementées, je me sentais bien en sa compagnie. Il y avait bien longtemps que je n'avais ressenti ce besoin de la suivre pour être auprès d'elle...quelles qu'en soient les conséquences.

Je me rappelle du jour où, ce fut elle qui me rattrapa afin de m'embrasser. J'avais l'impression que mon coeur s'était arrêté de battre...Avez-vous déjà eu un moment comme celui-ci ? Je veux dire par là, que pendant quelques secondes rien n'existe à part vous et une autre personne ? Vous avez l'impression que votre coeur s'enflamme littéralement ...

Pendant quelques jours je restais et nageais dans le bonheur, rien au monde n'aurait pu m'enlever cette joie...mis à part "ça".
Ce fut l'une des personnes qui compta le plus pour moi, bien que maintenant elle ne soit plus que souvenir. Elle a disparue, peut-être m'a-t-elle fui je ne sais pas...

Voici l'histoire qui me tient le plus à coeur Père Noël, bien que je conçois que vous ne voyez pas forcément de bonheur mais plutot de la tristesse mais je vous assure que vous auriez tord."


La nuit commençait à se faire longue pour moi, la fatigue me gagnait. Mon regard se porta au-dehors, murmurant seul.

- Quel belle nuit n'est-ce pas ? Les étoiles sont aussi belles que cette fois-là... Allez je finis ma lettre et au dodo après !


"J'espère vous faire plaisir en vous racontant cette histoire, et j'espère qu'un jour par une lettre, vous aurez l'occasion de me raconter l'une des vôtres. Prenez soin de vous et de votre assistante, elle semble tenir à vous.

Joyeuses fêtes, Elraz."



Je pris soin de la refermer avant de la laisser sur le bureau pour aller me coucher...

- Bonne nuit Père Noël.

jim morison

Élégie sassiez prêt d'un arbre avec un bout de parchemin vierge qu’il avait acheter 10 po. Il était ruiné et soudain un de ses amis s'est approchait de lui.... *

- bien le bonjour Serge

*lui dit Élégie avec enthousiasme. Serge esquissa un sourire radieux*

- Bien le bonjour Élégie, mais que fait tu ici tous seul ?
- J’essaye de me souvenir d’un bon moment que j’ai vécu
- Ah et bien pourquoi ne pas raconter ce que l’on n’a fait sur les terre de Dusso !
- Oh ! Excellente idée

Il me semble que c’était il y a 500 ans
* Élégie ferma les yeux et se rappela.*
*Un rond de brouillard avec des images a l’intérieur ce fit marquer dans son esprit.*

*Élégie entra dans un bar et alla s’installer avec son ami Serge *

- Salut Élégie, tu va bien ? Je te paye une bière ?
- Salut Serge, oui je vais bien merci. Ah ! Volontiers !

* il trinqua la joie de ce retrouvaient après 1 ans sans se voir *
*Élégie prit la parole le premier. Une telle inspiration ce fit sentir en lui quand il proposa a Serge de sortir leurs instruments et de jouer.
Le son ce fut entendre jusqu’à l’autre bout de la ville. Tout les villageois ce regroupèrent pour écouter Serge et Élégie chantaient cette air magnifique *

Hello, darkness my old friend
I've come to talk with you again
Because a vision softly creeping
Left its seeds while I was sleeping
And the vision that was planted in my brain
Still remains
Within the sound of silence

In restless dreams i walked alone
Narrow streets of cobblestone,
'Neath the halo of a street lamp
I turned my collar to the cold and damp
When my eyes were stabbed by the flash of a neon light
That split the night
And touched the sound of silence

And in the naked light I saw
Ten thousand people, maybe more
People talking without speaking
People hearing without listening
People writing songs that voices never share
And no one dared
Disturb the sound of silence
"Fools," said I, "You do not know
Silence like a cancer grows.
Hear my words that I might teach you,
Take my arms that I might reach you."



But my words like silent raindrops fell,
And echoed
In the wells of silence

And the people bowed and prayed
To the neon god they made
And the sign flashed out its warning,
In the words that it was forming.
And the signs said the words of the prophets
Are written on the subway walls
And tenement halls.
And whisper'd in the sounds of silence


* Élégie laissa voir une petite larme sur son visage, il ferma les yeux, les couleurs étaient si belles, l’air était si doux, la chaleur du son que son ami Serge pochetée contre lui montra qu’il ressentait vraiment une sensation de bien être qui se fit ressentir dans tous le village.*
- Merci Élégie * dit Serge en le serrant contre lui *
* Il sorti dehors et regarda la nuit. Des flocons de neige tombaient par millier et toute la joie de l’hiver était la ….*

samaël

Chère père noël voici de quoi vous remonter le moral
Car si sur ces terres les mots d’ordre sont rivalité compétition
Il y en a un autre l’amitié qui prend tout sont sens le jour ou l’on rencontre une personne comme DEDE
L’amitié est une qualité qui se fait rare
Qu’il ne faut jamais ranger au fond d’un placard
Comme un frère toujours la pour vous épauler
Comme les cinq doigts de la main
La fidélité, le courage, la vengeance, la dignité, le respect
Il y a de cela bien longtemps par une nuit sans lune, dans la noirceur du bout du monde
La caste des « sans loi » vit le jour
Je viens ici vous conter l’histoire de deux amis
Un soir ou il ne faisait pas bon dormir dehors
Je rencontre le DEDE la dans sa tenue de vampire il m’aborde et me propose un verre que je n’ai pu refuser
« Alors mon petit » me dit t’il « tu te promène seul et sans caste je suis moi-même a la recherche d’une antre de bonne humeur »
Je lui coupai la parole « dit moi et si on ce formait une famille je suis sur qu’il y a plein de gens de bonne volonté qui ce trouve seul comme nous »
A sont regard je compris que l’idée lui avais plu
« Eh bien soit » me répondit il
Depuis ce jour nous les sans loi distribuons, soins, cadeaux, et même des baffes en toutes amitié

Vanille

Cette nuit, j'ai fait un rêve. Le genre de songe qui vous remue la sève.

Le ciel était clair accompagné de quelques nuages qui flottaient la-haut, comme une douce collation, les oiseaux chantaient tel une douce mélodie.

J'étais avec lui, je riais. Je ne le connaissais pas encore.

Dans un grand champ de blé, les yeux brillaient de joie, Ils aimaient à chaque instant un peu plus la vie.

L'odeur du temps en avait presque une odeur délicieuse, ils arpentaient à deux les terres, comme deux enfants, ils étaient prêt à la découverte des merveilles de nos terres.

Les prairies, ou pouvaient gambader quelques blobs... Les forêts, ou volaient d'anciens dragons... Des terres glacées, ou le corps d'un mammouth reposait... Du sable à n'en plus finir, ou le monde vivait la nuit... Qu'importe, le paysage, les monstres, les légendes... Ensemble, ils se sentaient prêt à vivre enfin !

Je me suis réveillée de ce rêve audacieux... Et levais alors la tête vers les ternes cieux

Les larmes lui venaient comme un ruisseau débordant de son lit, elle priait pour qu'un jour, son rêve devienne sa réalité.

J'ai temps besoin de lui, un ami que j'adore et qui me protégera.

[HRP: Les débuts ne sont pas toujours évident, n'ayant pas de lien d'amitié avec quiconque, j'ai préfèré tourné ce R.P. sur un rêve ou je rencontrais l'amitié.

Cordialement,

Vanille]

Dario

Le son retentissant des trompettes d’argent se faisaient entendre. Les marchands déballaient leurs étalages, les forgerons battaient le fer scintillant de longues épées. Un climat prospère et calme régnait sur la contrée de Boudok, sous le regard pétillant de Dario.

La bannière de Sherwood flottait dans la brise du matin. Le mage se faufila aisément à travers la foule, qui grouillait sur le marché et provoquait un vacarme assourdissant. Mais les pensées de Dario étaient ailleurs, dirigées vers la petite taverne où il devait retrouver sa nouvelle amie, Aaliyah. C’est le sourire aux lèvres qu’il en passa le seuil.

Il faisait bon vivre à l’intérieur de ce lieu festif qui était à la fois accueillant et chaleureux. Une atmosphère apaisante s’en dégageait. De petites tables, probablement en bois d’ent vu leur ancienneté, s’y trouvaient en grand nombre. Aaliyah s’était installé à l’une d’elles.

Affichant un large sourire, il se dirigea vers cette dernière, ravi de la revoir. Il baisa sa main, en guise de salutations, avant de prendre place à ses côtés. Un large flacon rempli de rhum attendait déjà Dario, amateur de cet alcool délicieux.

Sans attendre, ils entamèrent la discussion. Les sujets étaient variés : apparences, mariages, guildes, guerres… mais le plus intéressant était sans aucun doute l’amitié. Dario tenait beaucoup à ce nouveau sentiment, qu’il réservait à la guerrière assise auprès de lui.

Il était déjà très attaché à Aaliyah, comme en témoignaient les nombreux sourires qu’il lui adressait. Elle avait réussi à le sortir des ténèbres dans lesquels il était plongé.

Dario se remémora alors leur premier rencontre. Les étoiles furent les seules à s’inviter à cette belle soirée, au cours de laquelle ils se sont promis de ne jamais rompre ce nouveau lien qui les unissait, tout en partageant leurs précieux biscuits de noël.

Et depuis ce jour, Dario n’échangerait ces précieux moments pour rien au monde.

Briznuk

Tout ce déroule pendant une froide nuit d'hiver, j'étais seul abandonné de tous, les passants m'ignoraient dans la rue, assis, dans le froid, le long des marches grisâtres de la cathédrale, réclament un peu d'aide à toutes personnes se trouvant proche de moi pour pouvoir survivre à ce froid horrible qui gelait mes membres.

Cela faisait environ sept mois que je m'étais retrouvé à la rue après avoir fugué de chez moi, mais je n'avais pas encore connus l'hiver glacé le seul hiver que je connaissais c'était derrière les vitres de mon ancienne demeure, mais la les semblant de vitre que j'avais été des bouteilles empilé les une aux autres pour essayer de me cacher un peu du froid.

Cette nuit là était comme les autres nuits d'hiver, froide, interminable, les membres endoloris par le froid je n'avais qu'une hâte m'endormir pour essayer de rêver et échapper à cette terrible réalité comme je faisais chaque soir.

Je m'étais donc endormie et un magnifique rêve se dévoila devant moi.
Je me suis fait accoster par un homme étrange, cet homme me tira de ma cachette et me traîna dans une tanière où il faisait bon vivre, la lumière m'aveuglait quand je suis entré puis mes yeux s'habitua et je vis des tables aux quelles étaient installés bons nombres de personnes qui festoyaient, rigolaient, chantaient, ils y en avaient même certains qui dansaient ou plutôt qui essayaient après avoir consommé un peu trop de boisson.

C'est alors que l'homme qui m'avait traîné jusque ici ouvrit la bouche pour me dire :

« mon p'tit gars je te voie depuis quelques jours dans ta cachette au froid et je me suis dit que je ne pouvais pas te laisser passer noël seul au froid, alors bienvenu dans ma taverne, ici tu trouveras de la chaleur humaine comme nulle part ailleurs »

C’est après ces quelques paroles que l’homme et moi partions en directions du bar et de là il en sort une grosse chopine et me dit :

« Tu es jeune mais c'est noël et puis bon y a pas d'âge pour commencer »

il me tend une chopine, assez lourde. A l'intérieur de la cervoise recouverte d'une onctueuse mousse blanche.
Après sent être servis une il trinqua avec moi et s’écrit :

« joyeux noël »

Et on but toute la nuit on rigolait, dansait, chantait

Après avoir passé plusieurs heures à faire la fête et que les gens de la taverne soient partis, l'homme me parla d'une voix calme et sérieuse :

« Fiston comme je te l'ai dit, cela fait un petit moment que je t'observe, dans ta cachette, tu ne peux plus continuer comme ça. J'étais moi-même à la rue fut un temps c'est pour ça je te propose si tu es d'accord de loger ici en contre-partit tu travailleras pour moi à la taverne bien sûr tu seras nourrie »

Après ça je me rendormie à côté d'une table dans un coin trop épuisé par la soirée. Au petit matin quand je me suis réveillé, malheureux d'être sortis de mon rêve, j'eus la surprise de voir que la nuit d'hier n'était pas un rêve, mais la réalité et que grâce à cet homme j'avais passé un réveillon de noël le plus chaleureux que je puisse imaginé et surtout je m'étais enfin sortie de la misère.

Grâce à lui je suis devenu ce que je suis aujourd'hui, grâce à lui je vis, heureux, avec beaucoup d'amis qui m'entourent, cette personne je ne la remercierai jamais assez.