partie 2
Alors que de nombreuses questions lui semblaient sans réponses depuis son évasion, il chercher à comprendre les hommes et les mœurs étranges.
Il arriva dans une ville où la foule était si dense que la tentation de léviter était très forte, mais ne voulant pas se faire remarquer, il tenta de se frayer un chemin parmi les gens….
Cette odeur était prenante, mais qu’étais ce donc… ?
Farlah, hésitant, s’approcha d’une personne et lui demanda :
Quel est donc ce lieu ?
L’inconnu répondit : c’est le marché marquant la fin de l’été, de nombreux marchants ambulants sont venus de tous les coins de baduk pour faire affaires…
Farlah, avec un signe de la tête remercia l’inconnu et continu a se faufila parmis la foule et les odeurs.
Il arriva devant une étale bien achalandée et sentit une sensation étrange, une envie soudaine destructrice, un besoin interne….il ressentait la faim. Alors qu’il approchait sa main d’un fruit, le marchand lui frappa la main de sa canne :
Hé, on ne touche pas la marchandise sans la payée d’abord !
Farlah ne comprit pas le concept….
Payée ..??
Le marchand commençant à le regarder méchamment :
En plus tu voulais me voler gredin ! Tu perds rien pour attendre !
Farlah voyant l’homme commençait à sortir de derrière son comptoir, il ressentit la haine que cet homme dégagée, et se mit à fuir entre les passants. Se mêlant à la foule, il finit par être hors de vue du marchand et se mit à l’abri à l’angle d’une bâtisse. Il reprit son souffle, ce n’était pas encore dans ces habitudes la course à pied. Il repensa à ce qui était arrivé au centre expérimental, la même chose aurait pu arriver mais avec une incidence bien plus tragique…
Par la suite à force de d’épier les humains, il comprit son imprudence de ce jour, les humains utilise une sorte de troc pour avoir les « choses » et que comme eux, il avait faim…
Alors qu’il traversait des contrées éloignées du village il remarqua un attroupement de bestiole. Il s’en rapprocha, intrigué :
Qu’est ce donc que ca, des humains ? Malades, peut être ?
Il s’approcha encore comme s’il voulait les toucher
Cependant une chose l’avait choqué : ces « humains » ne parlaient pas.
Voyant l’inconscient, s’approchait d’eux ces « humains » se mirent en garde, l’air menaçant.
Farlah comprit qu’il s’était tromper sur les intentions de ces « humains » : ils voulaient le manger pensa t il.
Il se mit lui aussi en position d’attaque, puis après quelques minutes de lutte, il réussit, non sans mal, à terrasser les créatures. il récupéra quelques « souvenir » et repris le chemin.
En arrivant à la prochaine ville, il se fit accoster par un homme qui avait l’air en détresse :
Vous avez de bels victuailles, pourriez vous me faire l’honneur d’en partagées une toute petite partie…
Il vit l’homme s’avançait comme il l’avait fait auparavant sur la place du marché et ressentit qu’il n’avait par d’intentions belliqueuses.
Vous avez bien du courage pour aller chercher des cuisses de griffons par les plaines en cette période, ils sont agressifs à cette lune.
Des griffons ? Ce n’était point des hommes ?
Certes non mon ami, répondit le mendiant interloqué.
Je viens de loin et je ne connaissais pas de telles créatures…
Vous devriez vous méfiez des monstres qui traînent sur les terres, ils n’hésiteront pas à vous dévorez si vous faites preuves d’imprudence.
Il invita l’homme à manger vu que c’était la fonction première des « souvenirs » rapportés.
L’homme commença à mettre en place un feu.
Farlah vit l’homme sortir le feu par ces mains comme lui l’avait fait avant…
Les humains maîtrisent les éléments ? Et à quoi va servir ce feu ?
Vous ne comptez pas mangez cru tout de même ?rétorqua l’homme en souriant
L’homme prit une cuisse et commença à la faire rôtir, farlah repris :
Le feu, comment avez-vous fait ?
Mon père me l’a enseigné jadis, il était élémentaliste, vous ne savez pas faire de sorts ?
Farlah fit une sorte de grimace après tout son sa forme humaine il en était incapable et était toujours tenter dans faire…
Approchez vous, je vais vous montrez quelques tours de bases tels que le feu, la glace, et la foudre….
Après lui avoir appris ces quelques rudiments, ils continuèrent à manger. Farlah saisit de trop prés une cuisse encore sur le feu et se brûla légèrement.
J’aurais du vous montrez un sort de soin aussi, l’homme prit la main de farlah et la soigna :
Voilà qui est mieux, regardez comment on procède
Regardant avec intérêt ce sort qui lui avait enlever cette sensation douloureuse de malaise.
Le repas se terminant :
Si vous comptez occire à nouveau de tels créatures vous devriez songez à revêtir de meilleures protections car celles que vous avez me semble un peu légères pour de tels prouesses…Allez voir un tailleur et un armurier, avec les objets que vous avez récoltez des monstres vous devriez pouvoir avoir un bel apparat .je vous remercie, l’ami pour avoir apporter un peu de réconfort au pauvre homme que je suis faites bonne route !
L’homme s’éloigna du village et farlah se mit en quête d’équipements mieux adaptés aux voyages comme lui l’avait recommander le mendiant.
Farlah au détour, d’un chemin un homme avec une grande besace et un âne portant ce lourd fardeau, le marchand lui demanda :
Savez vous dans quelle direction est le village ?
Farlah montra la direction du village du bras et demanda :
Quel est donc ce tas de « gronle »que vous transportez ?
Ce ne sont pas des « gronles » mais des armures que je veux vendre au village plus quelques épées..
Je recherche justement de l’équipement, mais je n’ai que ce genre de choses à offrir en échanges et point de monnaie…
Le marchand examinant les objets, l’air intéressé, et dit :
En cette saison les serres de griffons se font rares ainsi que leurs plumes je pourrais en obtenir un bon prix auprès d’accessoiristes je veux bien vous les échangez contre quelques fournitures.
Le marchand commençant à fouiller dans sa besace et montra quelques modèles. Farlah vit une armure qu’il trouva belle et la désigna
Fort bon choix pour les voyages périlleux même si elle est fort chère…je pense que ça devrait faire l’affaire.
Le marchand lui remis un set complet plus l’épée qui aller avec
Une bonne armure ne sert à rien si on ne peut se défendre, dit il en tendant l’épée.
Farlah donna les diverses objets qu’il avait collectés en souvenirs et commença à revêtir l’armure
Je vous remercie et à la revoyure, dit le marchand
L’âne lui aussi semblait aussi ravit de voir son fardeau allégé.
Farlah repartit en visite de contrées plus lointaines mais plus dangereuses encore
Il commençait à prendre de l’assurance au combat ainsi que face aux humains.
Souvent confronter aux mépris des villageois ou même à des attaques de brigands il ne se découragea de trouver un jour des gens paisibles avec lesquels, il ferait sans doute un bout de route malgré sa haine et son désir de vengeance….