Chapitre premier: Légende


Une silhouette gisait étendu dans cet enfer Hivernal. Tout autour d'elle, glace, neige et froid régnaient en maître. L'homme reprit connaissance doucement. Il leva premièrement la tête, elle tournait, tourbillonnait à l'en faire vomir ces tripes. Il posa sa main au sol pour supporter son poid et se remettre debout.Avec beaucoup de peine il y arriva. L'individu sur ces jambes, sillonnait les abords, stupéfait, tout autour de lui paraissait étranger. La chose qu'il se rappelait, son nom, Dio. Il avait des cheveux mi long noir, un long manteau en cuir marron, son chemiser était blanc. Il tenait avec lui une bourse, à l'intérieur quelques rations.. Désemparé ne savant que faire, il entama un descente à travers les champs blanc, le vent le fouetait, la neige le ralentissait, de pas lent il avança protégeant sa tête de son bras contre les flots glaciale qui le percutaient. Après plusieurs heures de route, ses membres commencèrent à se pétrifier. Il vit à quelques pas une petite grotte, il y entra, se blottit contre la paroi se perdant dans ses pensées.

Non loin un bruit se fit entendre, un mouvement lent, cadencé, une charrette magnifique s'arrêta devant lui. Elle était noire, Deux divins chevaux blanc figurés à l'avant. La porte s'ouvrit, une main lui fit tendu. Dio hésitant, prit pas précautionneusement, il regarda une première fois à l'intérieur, mais il ne put en voir qu'une infime image d'une silhouette. Il s'arrêta devant les marches.

« Oyez, je suis perdu dans cette forêt, pouvez vous m'aider? »

Une voie sifflante lui parcouru les oreilles.

« Monte mon enfant! »

Dio n'ayant le choix que de se laissait embarquer. A l'intérieur seul une petit lampion éclairait l'obscurité qui prenait place à chaque endroit. Dio n'arrivait point à discerner le visage de son interlocuteur encapuchonné. L'homme mystérieux reprit la parole tel un serpent.

« Des légendes disent que des âmes peuvent se combiner, s'unir, ne faire qu'un. Seul des personnes spéciales auraient la faculté de pouvoir percevoir ces âmes errante, elles se représentent souvent par un aspect animalier. Le loup (L’œil rouge) représentant du sang, la serpent (L’œil jaune) représentant de l’intelligence, Le griffon (L’œil vert) représentant de la nature. Ces bêtes se firent traquées sans relâche, leurs pouvoirs étant charmeur à celui qui le gagne. Il est dit que celui qui combattra une de ces bêtes gagnera sa force, d'autres disent même qu'elles procureraient l'immortalité. Mais ce ne sont que des légendes mon cher Dio. »

Dio ne comprit ce que cette inconnu voulait sous entendre, il ne savait comment l'individu connaissait son nom, au moment ou il alla prendre la parole, l'homme étranger lui souffla le mot.

« Voilà nous sommes arrivés, je vous pris de descendre sans la moindre parole »

Sans que Dio eu le temps de dire quoi que ce soit il se retrouva dehors, un objet lui fit lancé:

« Peut être qu'elle te servira?»

Dio regarda l'objet luisant de flamme, une Hache de feu, une arme de légende. En quelques secondes la charrette disparu dans un brouillard épais.

Il empoigna la hache de sa main droite. L'obscurité venait de tomber, il était autant perdu que précédemment. Déboussolé semblait être le maître mot, il ne voyait rien mise à part les faibles lueurs que lui procurait son arme. Il jeta un oiel tout autour de lui, rien, même pas l'ombre d'une petite lumière jusqu'au moment ou il put discerner une faible lumière rouge, elle ne cessait de bouger, activement, changeant de direction rapidement, elle se rapprochait doucement puis de plus en rapidement, Dio n'eut que le réflexe de se préparer à recevoir cette chose. Jambe fléchi, hache en main. Il resta immobile. Le point s’intensifia, il entendait des frottements de pas frôler la neige, plus que quelques mètres et il allait enfin savoir quelle était cette lumière. Mais avant qu'elle n'arrive à sa porté, elle s'arrêta brusquement. Un oiel rouge brillait de mille feu, peut être que la hache l’apeuré ou le rendait méfiant. Son sang se glaça à la minute ou elle s'arrêta.

Il n'avait que d'autre choix que d'avancer et découvrir par lui même

Il l'a vu, cette immondice, un loup de plus d'un mètre vingt de haut, de la bave coulant sur la sol faisant fondre la neige, des crocs acérées tranchant une gorge sans la moindre hésitation, et une mâchoire prête manger un cerf en guise de digestif.

La gorge de Dio se noua, il restait fort, ne fléchissant point, ne montrant aucun signe de peur. Les deux se regardèrent pendant quelques secondes, après un rugissement venant du loup, la bête se lança sur lui la gueule ouverte.