[font=Times New Roman][Chapitre 1 : La transformation]
Il était une fois un simple paysans qui voyageais en terre sainte, à la recherche d’un sérénité personnel qui l’emmènerai loin dans sont périple. Il avait bravé nombreuse bestiole en chemin, mais quand il arriva en terre sainte il ne vît aucune bête capable de lui faire peur.
Il prit sont sac et partit a la recherche d’une terre a sa hauteur. Un prophète lui avais parlé d’une terre argentée au sud des terres sainte ou vivaient les pire monstre que l’homme ait pu voir aucun n’était revenu vivant de ses terres.
Il chargea alors sont sac de pain et de gourde d’eau. L’homme qui voyageait toujours léger pris une armure et s’arma d’une dague au cas ou le vieux prophète aurait eu raison dans ses dires. Il sera ses bottines et partit. Les jours passèrent et l’homme vît ses ressources diminuer de jours en jours sans voir l’ombre d’une terre.
Fatigué par sont chemin l’homme décida de s’asseoir un moment. Une grotte sombre était a sa porté il déposa sont sac but et mangea a sa guise. Quand soudain un bruit lui donna des frisont dans le dos, un grondement serait plus exact pour décrire se bruit. Il aperçu une silhouette sombre et poilue, sa ressemblait à un loup géant mais a sa stupéfaction il découvres un semi homme semi loup. Le loup-garou mordu l’homme dans une bagarre sans merci l’homme était enfin arriver a tuer la bête mais la nuit tomba il s’installa dans la grotte et pris la fourrure du loup-garou afin de se réchauffer.
La pleine lune éclaira la grotte, l’homme vit ses jambe se transformer puis sont corps se transforma en se qu’il avais tuer. L’homme courut se demandant se qu’y lui arrivais, quand une odeur de plante le ramena a lui-même il vit une plaine remplis de monstre avec des habitations par-ci par là. Il était enfin arriver en terres argentée.
[Chapitre 2 : La rencontre]
Blackwolf avais appris à vivre avec se qu’il considérait aujourd’hui un don du ciel.
Les jours passait la pluie se fracassait sur les toits des habitations des terres argentées.
Le ciel était sombre, si sombre que les paysans ne pouvait travailler en se jour car ils ne voilaient pas ou s’arrêtais leur terres. Les cheveux s’affolaient dans les enclos. Les portes de ceux-ci se frappaient les unes contre les autres. Le bruit de la foudre remplaça celui des rires des enfants qui s’amusait dans la rue avec deux bouts de bois.
Tous le monde s’avais qu’une chose horrible allait se passer, mais personnes ne parlais.
Le Volcan de Baduk et de Boudok rentra en éruption. Les terres argentées s’affola se demandant se qui se passait les petites habitations qui avais élu domicile sur le flan du volcan
Furent évacuer de toute urgence.
Blackwolf décida lui de voyager vers se volcan, car il s’avait que cette puissance et ses éléments qui se déchainai ne pouvais être naturel. Lui qui auparavant décida de rester sur ces terres argentées car il s’y amusait bien. Les Monstre évoluaient en même temps que sa puissance chaque jour de nouveaux défis lui était annoncée mais aujourd’hui il sentait qu’une chose étrange allait se passer.
Arriver au pied du volcan il aperçut une petite grotte et y accéda d’un pied décidé.
A sa stupéfaction il découvrit des marches qui le menaient devant une petite entrée sombre qui était illuminé par la lave qui grondait dans les profondeurs du volcan.
Soudain pour je ne sais quel raison il se retourna et tombât né à né avec une bêtes énorme sortit tous droit du centre du volcan de lave. Un Bête féroce avec deux énormes ailes, des cornes qui lui sortait de la tête.
BlackWolf sortit sa dagues prêt a bondir sur le monstre.
Le monstre vola et dévasta tous sur sont passages. Habitations, Châteaux, étable ; rien ne lui résistait. Le loup-garou courut après cette bête nuit et jour.
Un jour ou les éclaire et la lave des volcans ne faisaient qu’un BlackWolf arriva enfin à trouver la bête. Une guerre sans merci débutât alors, mais blackwolf ne se laissa pas faire et réussit a abattre le monstre.
Le loup-garou était reçu comme un héros dans les villages.
Assis au bar de sont peuf adoré, il vit une demoiselle entrée si belle, si intelligente, elle avait tous d’une princesse.
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