[font=book antiqua]Introduction au chapitre[/font]
Vous savez tous comment on nait, je suppose. Deux personnes partagent le même amour, ils s’aiment. De là, ils décident de donner la vie. Un nouveau né qu’ils combleraient d’amour, dans la plupart des cas. Cet être qu’ils verraient grandir, passer du stade enfant à adolescent, et de l’adolescent à l’adulte. A l’âge adulte, il aura la possibilité de faire des choix, de mener sa vie comme il le désire…
Ce n’est pas le cas de tous le monde.
Je vais vous raconter ma petite histoire.
[font=book antiqua]Un corps étrange[/font] - Chapitre I.1
« Jadis, un être errait sur les Terres d’Argent, il se faisait connaître comme une personne avec un bon caractère, c’était quelqu’un de très sociable, sachant se faire apprécier. Il n’avait pas vraiment de but, il explorait les territoires, grappillait de l’expérience par ci par là, ne sachant pas vraiment où ça le mènerait. Il ne se tracassait de rien. Ca lui arrivait de prendre des vies, comme certaine fois de laisser la vie sauve. Il ne savait même pas pourquoi il tuait, il n’en avait aucune idée, il trouvait ça amusant sur le moment, et après il regrettait d’avoir fait du mal.
Un clan, ou plutôt une famille, l’avait aidé à grandir et à évoluer dans les meilleurs circonstances, celui-ci qui lui annonçait un avenir de bonheur. Une union qui unissait tout types de personnes, qui unissait les opposés, afin de rendre les Terres d’Argent agréable à vivre.
Un jour, il décida d’aller balader. Il connaissait un endroit très calme et paisible à la fois, il y alla, le pas pressé, impatient d’arriver. Il reconnut l’endroit juste en profitant du calme qu’il apportait. Une plaine parsemée de grand arbre, laissant percevoir le fin son d’un petit cours d’eau. Il s’aventura dans la plaine, profitant un maximum des parfums qu’elle amenait à son odorat. Quand soudain, un craquement de branche vint perturber le silence, il se retourna, regarda de droite à gauche, il cherchait celui qui était la cause de ce bruit soudain. Il ne voyait personne, il décida donc de se retourner et de continuer la route qu’il menait. PAF ! Son nez heurta quelque chose. Il leva les yeux et vit un visage enfermé sous un capuchon. Il recula d’un pas souple et s’excusa auprès de la personne. C’était en faite un mage muni d’une tunique noir qui raflait le sol, un mage sombre, ci sombre.
Après avoir fait quelque peu connaissance, le mage l’invita à explorer de plus loin la forêt qui l’entourait. Le vieux sombre avait les mots justes pour le rassurer et le mettre en confiance. Après quelques minutes passées à marcher, ils arrivèrent à l’entrée d’une grotte et y entrèrent. Le petit être se perdait dans ses pensées, tandis que le mage sombre sentait le sentiment de satisfaction s’accroitre de plus en plus.
Voilà, c’est ici que je vis, annonça le vieil homme. Mais dit moi, comment t’appelles-tu au juste ?
Charm.. il n’eut pas le temps d’exprimer ses pensées sur le lieu que le mage avait déjà enchaîné sur ces dires.Heu.. On m’appelle LRC abréviation de Le Roi Chevalier et..
Regarde, interrompu le vieux mage la lancée du petit chevalier.
Il souleva un vieux rideau d’un pan de mur. La grotte s’arrêtait derrière le drap, laissant apercevoir l’entrée d’une cité perdue. Le Roi Chevalier était tout stressé. Ce lieu ne le rassurait pas, il n’avait jamais vu un endroit aussi ténébreux et effrayant. Il voulait partir.
Trop tard... ! s’esclaffa le vieux fou, Ahahah. Mais c’est pas tout ! J’ai encore autre chose à te montrer… Regââârde !
Il pointa à nouveau un autre drap, il le décocha… LRC ne fut plus effrayé mais terrorisé ! Un corps flottait dans les airs à travers un rayon de lumière très lumineux et à la fois sombre qui illuminait la pièce entière. Les filaments de lumière se dégageait du sol allant jusqu’au plafond et vis-vers-ça. Un vent intempestif avait l’air de se trouver à l’intérieur des rayons de lumière. Une vision presque indescriptible et inimaginable.
Le Roi Chevalier, tellement obnubilé par la vision et l’accumulation des choses étranges qu’il venait de voir, s’écroula à même le sol et perdit connaissance. »