I-Solitude
Chére et tendre Maman,
Je t’écris aujourd’hui pour te parler de ma semaine passée.
Seule, j’avance doucement comme un chien apeuré dans une ville, la peur au ventre, les larmes aux yeux, je ne sais plus quoi faire ni quoi penser.
Les gens sont froids et distant, ils s’éloignent de moi comme si j’avais la peste, et pourtant je suis encore en vie. Je garde espoir sur l’avenir en espérant un jour rebondir dans se monde obscur.
J’avance encore et encore, sans but, sans joie dans cette ville si noire, si trouble que mon esprit se perd dans se couloir de la mort. Personne pour un geste amical, pour un sourire, une parole, les gens t’ignorent.
Je ne peux en vouloir aux personnes qui m’entourent dans la rue, toi seule a voulue que j’en arrive la.
J’ai pas choisis se qu'il m’arrive, je n’ai pas eu le choix, mais j’aimerai comprendre ton geste pour pouvoir te pardonner un jour malgré mon amour envers toi que je ne puis l'oublier.
Je dois te laisser la nuit tombe vite, et je dois vite me cacher pour éviter qu'il ne m’arrive malheur.