Mon Histoire.

Membre supprimé
Il y a 14 ans | Le 30 Nov 2009 10:48:44
I-Solitude

Chére et tendre Maman,

Je t’écris aujourd’hui pour te parler de ma semaine passée.
Seule, j’avance doucement comme un chien apeuré dans une ville, la peur au ventre, les larmes aux yeux, je ne sais plus quoi faire ni quoi penser.
Les gens sont froids et distant, ils s’éloignent de moi comme si j’avais la peste, et pourtant je suis encore en vie. Je garde espoir sur l’avenir en espérant un jour rebondir dans se monde obscur.
J’avance encore et encore, sans but, sans joie dans cette ville si noire, si trouble que mon esprit se perd dans se couloir de la mort. Personne pour un geste amical, pour un sourire, une parole, les gens t’ignorent.

Je ne peux en vouloir aux personnes qui m’entourent dans la rue, toi seule a voulue que j’en arrive la.
J’ai pas choisis se qu'il m’arrive, je n’ai pas eu le choix, mais j’aimerai comprendre ton geste pour pouvoir te pardonner un jour malgré mon amour envers toi que je ne puis l'oublier.
Je dois te laisser la nuit tombe vite, et je dois vite me cacher pour éviter qu'il ne m’arrive malheur.

Membre supprimé
Il y a 14 ans | Le 23 Dec 2009 16:22:33
II-Désespoir

Chère Maman

Toujours pas de réponses de ta part, je commence à croire que tu m’as oubliée.
Je continue à te donner des nouvelles en espérant peut être un jour recevoir une lueur d’espoir de ta présence.
Déjà plusieurs semaines on passées après mon arrivées sur ses Terres, je commence à me faire une idée de se vaste monde, plutôt laid, sombre, avec des gens égoïstes et sans scrupules.

J’ai réussi à me trouver des amis qui me correspond, ils sont agréables avec moi et j’en suis contente, grâce a eux je retrouve un espoir de vivre.

Maman, j’espère que tu reçois mes lettres, il est vrai que même les colombes son froides et méchantes mais je ne pense pas que se soit la raison de ton ignorance.

Je suis tellement triste d’être en arriver la, j’aurais aimée rester avec toi au château à prendre le thé, m’amuser dans la cour avec les animaux, mais non, aujourd’hui je suis la.

Pourquoi ?

Pourquoi cette souffrance ?