Âgée de seulement dix neuf ans , Abyria avait décidée de défier le roi qui gouvernait les terres argentées. Le souverain Arthur l'avait bannit de ces terres il y'a maintenant dix ans de cela , il l'avait condamnée à l'isolement. Tous ça pour une raison que la jeune femme ne comprenait pas encore entièrement aujourd'hui.
Quelques jours avant son bannissement la fillette jouait dans les bois , tous ce qu'il y'a de plus normal. C'est alors qu'un membre de la garde royale arriva et il s'en prit à un pauvre paysan. Celon ce qu'Abyria avait pût entendre , l'homme n'avait pas payé la taxe qu'il devait payer tous les mois au roi. Le soldat sortit alors son épée et menaça le pauvre fermier de lui tranché la gorge si il ne payait pas maintenant. La fillette était tous simplement terrifiée , pourtant elle ne voulait pas que ce pauvre homme subisse un tel châtiment. Elle trouvait cela très injuste. Une force inconnue s'empara alors d'Abyria , une sensation qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Ces pieds se soulevèrent du sol sans qu'elle ne commande quoi que ce sois , elle lévitait! C'étais irréel , elle devait rêver. Son corps avança alors vers le garde et le paysan , il était toujours en lévitation. La main droite de la fillette se leva subitement et elle semblait menaçer le protecteur de la courrone. Un éclair bleue jaillit alors de la petite main fragile de l'enfant et elle se dirigea vers l'homme qui portait une armure. Le choc semblait avoir été violent puisque l'homme rebondit quelques mètres plus loin. Le coeur d'Abyria battait à toute allure et une douleure immense se fit sentir dans sa main droite , celle d'ou provenait l'éclair. La seule question qui lui venait à l'esprit était : Comment ai-je fais ? La jeune fille sentit alors ça propre tête tournée et elle se sentit tombée d'un coup sec sur le sol. Ensuite plus rien, seulement le néant..
Lorsque la gamine ouvrit les yeux elle était étendue sur un sol de pierre glacial. Ça tête lui fesait affreusement mal , elle était terriblement lourde. Elle se redressa alors avec peine et elle regarda un peu partout autour d'elle. Les murs étaient faits de pierres , ces murs paraissaient aussi glacés que le sol. Une énorme grille faîtes de barreaux se dressait devant elle et juste à sa gauche il y avait un petit lit qui était habillé d'un mince matelas et d'une petite couverture blanche qui était très sale. Abyria constata la saleté des lieux et c'est alors qu'elle comprit qu'elle était en prison. Un bruit retentit alors dans le couloir qui était juste derrière la grille. La fillette apperçut alors un homme qui était vêtue d'une armure de fer déverouiller ça cellule et il lui dit de la suivre sèchement. Le regard de l'homme semblait sévère et sérieux , Abyria ne discuta donc pas et elle exécuta les ordres de cet homme qui lui était inconnu. Cet homme lui rappelait vaguement celui qui était dans les bois , leur visage n'était pas dutout semblable mais l'armure elle était identique. L'inconnue la conduit dans une immense salle au bout de laquelle était fièrement dressé un trône. Un vieil homme y était assis et il observait Abyria , il la fixait..son regard était foncé et perçant , ce qui effraya la fillette. Le soldat poussa la jeune fille dans le dos afin qu'elle avance un peu plus. Le contact froid de l'armure sur le mince tissus de sa robe l'effraya d'avantage. Le vieil homme l'observa longuement et silencieusement , la gamine n'osait pas parlée , elle n'osait rien dire de peur qu'on lui fasse du mal. Le roi prit enfin la parole , au bout de ce qui sembla une éternité. Il dit : « Abyria , tu n'es peut-être qu'une enfant mais tu as démontrée d'étranges facultés dans la matinée. Je ne veux pas prendre le risque que des créatures dotés de pouvoirs magiques envahissent mon royaume. C'est pourquoi je te bannis et je te condamne à l'isolement ! La séance est terminée , veuillez l'expulser de ces terres au plus vite.»
Ces mots restèrent gravés dans la mémoire de la jeune femme , elle s'en souvenait comme si c'étais hier. Ensuite , quatres soldats lui bandèrent les yeux et ils la conduirent dans un endroit qui lui était inconnue. Elle était si loin , si isolée de tous..comme le roi Arthur l'avait dit. Cinq années passèrent dans la solitude la plus totale avant qu'Abyria reçoive enfin une lettre de son père. La joie fut immense , elle avait espérer ce moment tant de fois mais elle perdait espoirs de plus en plus chaque jours. Elle avait peur que ces espèces de dons magiques lui fassent perdrent sa famille. La lettre de son père lui prouva le contraire. Abyria lui répondit avec empressement. Cinqu autres années passèrent dans lesquelles Abyria et Dede , son père , communiquaient par lettre. Ils devaient faire attention par contre, ils ne devaient en aucuns cas se faire prendre par le roi ou par uns de ces fidèles destriers. Heureusement tous se passa à merveille et aucunes lettres ne fût détectées en cinqu longues années. Dans presque toutes ces lettres Dede disait à sa fille à quel point elle lui manquait.
Un jours Abyria prit son courage à deux mains et elle décida de regagner les terres argentés malgrer l'interdiction du roi. À sa grande surprise tous ce passa sans aucuns problèmes , la jeune femme pouvait circulée librement dans les rues des terres argentées. Les gens , même les gardes du roi , passaient près d'elle et ne semblaient pas la remarquer. Abyria pût donc enfin retrouver son père , après dix ans elle n'avait pas perdue l'amour qu'elle éprouvait pour lui. Leur retrouvailles se firent dans une immense joie , Abyria était enfin de retour chez elle et elle était libre.
Enfin..