Rokan, assise au pied d’un pommier fleurissant, regardait naïvement le ciel bleu, bordé de quelques nuage blanc comme neige ca et la. Elle sorti ainsi de sa poche quelques bout de parchemin : elle écrivait. Cette nature, si belle, si harmonieuse, était sa source d’inspiration. Le ruisseau, se frayant un chemin entre les roches et les roseaux, était un des paysage les plus magnifique du monde. Mais cette journée n’était pas une journée comme les autres. En effet, lorsqu’elle était au bord de l’eau, il y a peu, un homme, vêtu d’une capuche noire, vint lui adresser quelque mot.
Bonjour, jeune demoiselle. Quelle belle journée, n’est-ce pas? Je suis venu a vous, aujourd’hui, car je suis a la recherche de jeune personne, pouvant me suivre, me servir, dans ma longue quête, qui va débuter d’ici peu. Je me nomme Zorroaste, digne descendant de Herbert, notre grand roi.
Elle l’interrogea sur cette quête, que ce noble Zorroaste préparait.
Depuis peu, un terrifiant golem a fait son apparition sur ces Terres Argentés, il s’agit d’Emet. Mon périple est de combattre ce golem, terrifiant et abattant tout les innocents de notre monde. Si tu veux me suivre, il te faudra seulement une chose : me rédiger personnellement un acte de foi, me donnant la preuve de ton attachement envers moi.
Après avoir acquiescer, Rokan se mit au pied de son arbre, pour se mettre a rédiger ses confessions.
« La vie, quelle soit misérable, heureuse, pauvre, est quelque chose de sacré, qui ne peut être enlevé à un individus, quelque soit son orientation. Depuis ma plus tendre enfance, ma mère m’a initié à l’art du soin. Si ce terrible golem a pour but de tué, tué et encore té, j’ai donc comme mission d’essayer de le supprimer. C’est pourquoi j’ai décider de vous rejoindre dans votre périple. De plus, étant une des plus fervent défenseur de Herbert, il est de mon devoir de suivre toute forme de mouvement pouvant amplifier sa gloire. Ainsi, je vous demande de me laisser vous suivre dans votre quête, accompagné de mon mari, premier sous-fifre de notre cher roi. »
Quelques mois plus tard, Rokan retournait dans ce parc, toujours aussi beau, ou le reflet du soleil faisait luire les nombreux fruit, toujours accroché sur les arbres. Mais quelque chose manquait….Un pigeon arriva, sur laquelle était accroché une lettre d’un des général de l’armée de Herbert : son mari était mort au combat. Elle décidait donc d’aller a la recherche de ses cruels tueurs. L’âme de son mari était toujours présente, et nous conta la suite du périple…
"La nuit était sombre……Le froid était…glacial….Mais quelques bêtes daignaient rester éveillé, et ainsi combattre l’obscurité, le froid, la mort que ces créatures pouvaient avoir cette nuit la, car une bête encore plus dangereuse vivait la nuit dans cette forêt, ne laissant aucun répit à toutes créature maléfique qu’elle trouvait sur son chemin. La lune éclairait son chemin, mais aussi son visage….Elle était pâle, avec de long cheveux noir et lisse, ses yeux était tellement vert, qu’on croyais qu’ils sortaient de sa tête…Sa bouche était noire, et laissait entrevoir deux belles dents….Cette créature, ou devrais-je dire, cette personne, n’étais d’autre qu’une brillante magicienne, suivant tout les faits et gestes de Herbert, mais aussi aujourd’hui d’Ignas, venu libéré sa parole sur le future descendant du trône d’Herbert.
Mais cette nuit la n’était pas comme les autres…. C’était la nuit ou elle et moi nous étions marié, nous nous étions aimé…Mais cette nuit fut aussi celle d’un théâtre sanglant, ou je perdu la vie face aux coups acharnés du Balrog…..Depuis ce jour, Rokan est veuve, mais elle a promis d’anéantir toute forme de vie maléfique, et ainsi venger ma mort, en tuant Aethen, premier fils de Herbert, mais qui n’est d’autre qu’un sous-fifre de GoodQ lui-même…..Mon histoire prend fin ici, je vous laisse découvrir la suite selon l’avenir qu’elle vous réserve….."