Babylone, ou l'histoire de la vie d'une citée. Récit historique du dernier gardien de la ville



Première tablette, création:

Il est dit qu'un architecte venu de on ne sait où aurait par ses plans mis cette idée dans le cerveau du Roi du plus grand empire, du moins le plus grand il y a 1489 ans. "Une cité, grande, sublime. Symbole de grandeur"

"Sous l'ordre du Roi de l'empire, ici, sera construit la cité des Dieux: Babylone." Voici l'ordre officielle de construction annoncé au delà des déserts brulant de Sato, entre plaine et montagne, dans une forêt sombre, immense et surtout inexplorée par l'homme jusqu'à lors.
Grâce aux plans de l'architecte naquit Babylone. Ville de pierre au milieu des arbres. Possédant un palais central montant plus haut que des arbres centenaires, des maisons toute plus subliment les unes que les autres, des œuvres telles que statues, fontaines, etc..ô que parfaites et des parcs à la végétation des plus variées possédant de temps à autre des ruisseaux ou lac à l'eau claire et pure comme les joyaux qui trônaient sur la toiture du palais.

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deuxième tablette, "Babylone la grande":

La construction prit un demi-siècle mais, des sont achèvement, on y venait de toute part du monde pour la voir, l'admirer.
Toute personne l'ayant vu ne retenait que la grandeur de ses lieux. Ainsi de fil en aiguille, Babylone fut surnommée "Babylone la grande", prononcée "Babylone LA grande". Ce simple "la" représentait le faite que Babylone était unique.
Pendant des siècles elle rayonna, premier lieu de tourisme, ville de commerce, ville convoité par les plus riche. Et ceci pour le plus grand plaisir des descendant du Roi.

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Troisième tablette, le début de la fin:

"Toute chose à une fin", pour Babylone cette fin c'est amorçé il y a 872 ans.
Le terrible sort qu'est l'infertilité, un Roi mais aucun prince. La fin du dynastie est toujours sujet à controverse, qui aura le royaume? que ce passera t-il ensuite?
L'empire du premier Roi n'était plus depuis quelques siècles, il restait un petit pays Babylonia qui comprenais Babylone avec les forêts environnantes. L'impact aurait du être faible, qui s'acharnerait pour obtenir un lopin de terre? Mais ce qui aurait du être faible fut tout le contraire. Babylone était reconnu même si petite, une reconnaissance qui scella son destin.
Des tentions apparaissaient dès la première ride du Roi, tout le monde commençaient à ce douté qu'il n'y aurait aucune descendance.
Des petits plans se préparaient dans l'ombre. Il fallait soit de la puissance, soit de l'argent, soit les bonnes grâce du Roi pour obtenir la ville, du moins c'est ce qu'on se plaisait a penser.
De la naquis, dans la cité pacifiste, pour la première fois depuis sa création: Le vice à profusion.

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Quatrième tablette, la fin:

Le roi subit la réalité de la vie à ses 48 ans, la mort, un hiver trop rude pour lui.
Sa femme se fit assassiner par on ne sait qui mais pour on sait quel résultat: le trône était vide, aucun risque de remariage et de reformer une dynastie.
Les conseillés proches du Roi se disputaient le trône en prônant "fidélité au Roi pendant tant d'année!" mais le plus riche marchant n'était pas d'accord "son commerce faisait vivre la ville!" et que dire du monarque de la région voisine il pouvait "protéger cette ville!".
Les conseillés furent évincé par des morts "accidentelles" à répétition. Babylone tomba sous la tutelle de la région voisine mais ce fut le marchant qui réussit à obtenir le pouvoir contre une coquette somme, il pouvait gérer Babylone à condition de rester sous les ordres du Roi du pays voisin.
Comme tout bon commerçant sont unique but était: Richesse, ainsi les taxes augmentèrent. Les villageois devenaient pauvre et donc égoïste. Le vole fit son apparition, le raquette, et même des ventes d'objets douteux et interdit.
Après un an, la ville n'était plus, trop cher pour les vagabond voulant visiter, et le Roi pensait qu'il était inutile de payer des villageois pour s'occuper de la citée et des différents parcs, sans oublier les esclaves coutaient trop en nourriture qui furent, pour leur plus grand plaisir, libérés.
La ville fut vite dans un état de délabrement avancé, petit à petit elle fut laissé à l'abandon, laissant deux ou trois cents habitants.

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cinquième tablette, je suis le dernier :

Un village, que dis-je, une cité!
Monumentale et pourtant inconnu de la masse, des incultes que sont les gens d'en bas. La classe populaire, inculte.
Ville disparu depuis des siècles, seul les sages, érudits ou descendants directs connaissent sont existence.
Résultante des saccages du temps, peu sont les connaisseurs des celles-ci mais que dire des habitants!
Homme? un, et unique, moi!
Animaux? Par dizaines.
Végétaux? Indénombrable.
La nature a reprit ses droits.

Je suis le dernier gravant cette tablette, mémoire de la ville, mémoire de moi même. La ville est, je suis; la ville sera, je serais.

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