Chapitre I : En quête de devenir magicien
Il fût un temps où j’aimais me balader dans les forêts de Baduk. La nature était ma grande passion. J’aimais aussi m’aventurer seul dans les endroits dangereux, parfois même dans les endroits où je ne devrais pas me trouver, mais rien ne pouvait m’en empêcher. Je ne savais pas exactement ce que je faisais sur les terres argentées tout compte fait, je rencontrais beaucoup de gens différent de moi qui avait tous un but, moi pas.
Un jour, je parti vers le volcan qui se situe au sud-est de Baduk, je rencontrai des créatures étranges et dangereuses à la fois. Puis d’un coup, vint en face de moi, un dragon de couleur noir, ses écailles reflétaient le soleil, je ne savais pas ce que je devais faire, j’étais paniqué. Heureusement pour moi, un guerrier inconnu chargea se dragon et le tua d’un coup de hache, c’est à ce moment que je compris pourquoi les autres habitants des terres argentées avaient un but dans leur vie, ils pouvaient ainsi se défendre et attaquer. C’est alors que mon destinée fût tracée, je décidai de devenir magicien. Je devais pour ça, apprendre à lancer des sorts. Car peut-on appelé un mage ‘’un mage‘’ s’il ne connaît pas de sorts ?
Ma quête de magicien commença. Comme tout aventurier, je devais acquérir de l’expérience afin d’évoluer au plus haut point. Je m’amusai à courir après les monstres sur quelques centaines de mètres, dans les forêts ou les prairies et leur lancer mes sorts après les avoir fatigué, je trouvais ça très marrant et passionnant à la fois. Je souhaitais être surpuissant, mais ma quête venait de commencer, je devais donc attendre avant d’avoir atteint mon but.
Je devais choisir un camp, le bien ou le mal. J’ai toujours eu un penchant vers le mal, car j’aime faire souffrir tout ce qui se trouve sur mon passage. Je décidai donc de servir la mal, et de devenir un assassin. Voulant un jour être reconnu comme telle, je marquai sur ma bannière de combat ‘’Sanïmil, mage noir, aventurier solitaire‘’ afin que l’on se souvienne de moi.
Un après-midi, je décidai de me rendre à la place publique, car j’ai entendu dire que beaucoup de gens se réunissaient là-bas. J’arrivai là, ma haine et ma nervosité étaient au rendez-vous, je lança quelques mots aux citoyens qui se trouvaient sur la place publique.
- Citoyens !!! Je me nomme Sanïmil, mage noir ! Retenez ce nom, car un jour je ferai régner le néant dans vos villages, tuerai vos femmes et vos enfants !