*Une porte s'ouvre dans les cieux,un blanc pur l'illumine.Une femme en sort deux hommes la suivent.Le visage fin avec une peau blanche,presque transparente.Le vent faisait voler leurs cheveux blond.Ils ouvrent grand leurs ailles d'un blanc immaculé.Sautent.Se posent sur ces Terres d'Argent.
Ils ne voient que haine et complots.Déçus par ce manque de civilité,ils décident d'y remettre bon ordre.Mais ces pauvres hommes sont bien trop habitués à ces horreurs.Il n'y a plus qu'un seul moyen de sauver ces Terres!*
-Rejoignez nous,vous,honnête marchant,soigneur bien-veillant!Aidons ces pauvres hommes!
*Hélas,ces hommes ne virent que de nouvelles proies...Ils s'élancèrent à leur poursuite.*


*Acculées dans une ruelle,je suis la seule survivante.Mes deux compagnons on périt dans leur fuite.La haine monte en moi.Les quarte hommes et les deux femmes se rapproche de moi.
Je sens la pierre rugueuse sur mon dos.
Je suis au bout de l'impasse,mes ailles blessé ne savent plus me portées.Il ne me reste plus qu'une solution:me battre,faire la chose horrible que j'essayais de bannir de ces Terres...
Je pouvais sentir leurs odeurs,mélange de sang séché et de sueur.L'odeur de la mort...
La haine monte en moi,mon sang bat à mes tempes.
Je revois la surprise de mes compagnons quand ils furent trancpercé par une épée et écrasés par une massue.La douleur puis la crainte que l'on voyait dans leurs yeux...
Je ne sais plus me contrôlé,je sent quelque chose monter en moi,il commence à me bruler de l'intérieur...Je crie,une douleur me traverse les tempes et je perds connaissance...*


*Je me réveil enfin,la nuit est tombée depuis longtemps.Je sent une odeur de chair brulée.Je me remet debout.Et là,devant mes yeux,éclaire par la pâle lueur de la lune,je ne vois que souffrance et désolation.C'était comme si une langue de feu avait tous brulée sur son passage.Les arbre,les hommes,les animaux,tout avaient été réduit en cendres...Je posa ma main sur le mur calciné à côté de moi,me pencha et vomi.La bille paraissait si douce par rapport à l'odeur âcre des chaires brulées...
Je tourna le dos à ce massacre et parti sur le chemin de l'inconnu,gardant en mémoire la mort de mes compagnons...*


*Deux jours avait passé et je n'avait rencontré personne.Ma propre odeur me dégoutait,l'odeur qui m'avait si longtemps révoltée:l'odeur du sang et de la transpiration,l'odeur de la mort...*


*Il me fallu encore 2 jours pour arriver au prochain village.J'y demanda un bon bain à l'auberge et un bon lit.Je ne reçu qu'un coups de pied au cul et un matelas de boue!
Je me releva,recrachant la boue de ma bouche.
J'avais ce mauvais goût en bouche.Pas celui de la boue mais celui de la haine,de la colère...Je me retourna et tendis les mains.Il n'en fallu pas plus.
L'auberge explosa.Un bras sanguinolent s'écrasa à deux mètres de moi(ou en tous cas,ce qui ressemblais à un bras).La fumée montait déjà de ce qu'il restait de cette auberge.Les villageois,alertés par ce désastre,coururent vers ce qu'il restais de l'auberge pour essayer de la sauver.En vain.Ils ne leur fallu pas longtemps pour comprendre ce qu'il s'était passé.Ils coururent vers moi,sortant leurs épées.*
-Attendez,il m'a humilié!Je voulais juste un lit et un bain et il m'a jeter dehors!
*Ils ne voulurent rien savoir.Ils continuèrent de foncer sur moi...J'étais fatiguée,las de courir.Je tendis pour la deuxième fois les mains.Ils semblèrent comprendre mais il était trop tard.Ils étaient tous mort...*


*Après m'être laver dans la rivière,laissant encore une fois un massacre derrière moi,je repartis mais cette fois-ci j'avais changée.Je n'étais plus cette petit fille sensible au monde,à la misère des autres.J'avais pris conscience de mon pouvoir,de ma force...*


*Depuis ce moment,je venge mes compagnons mort par votre insouciance. Mes nouvelle ailles me font voler de ville en ville,pour vous tuer.N'oublier jamais que c'est votre faute si vous mourrez de ma main*