[RP Ouvert à toutes & à tous !]

La taverne de l'ours emplumé est paisible: Les ivrognes cuvent leurs mixtures dont seul le patron possède le secret, les catins font du racolage en négociant leurs tarifs, et quelques nains font même une partie de carte malhonnête enseigné dans leur montagne natale. Bref, tous ce passe normalement comme dans n'importe quelle autre établissement pour les malaimés de la société.

Et c'est en ce moment de pure sérénité qu'un étranger décide de faire irruption par la porte battante de la taverne. Personne ne fait attention à lui. Il s'avance vers une table le dos droit, son sac à dos en place.

Il est petit, mais personne ne lui en veut, c'est un semi-homme. Il est bien peigné et peut semblé riche, et personne ne lui en veut car demain on le retrouvera dans une ruelle dépouillé de tous cette équipement ostentatoire: On ne se trimballe pas dans les terres d'argent avec une cape en soies brodées qui crient « J'ai été taillé sur mesure et j'ai couté une petite fortune rien que pour vous en mettre plein la vue bande de barbares », enfin pas quand on est saint d'esprit, pour le moins.

Il s'assoie donc à une table taillé pour les nabots de son espèces, enlève soigneusement sa cape, la plie délicatement, et la range dans son sac. Il jette un coups d'œil à sa table et pousse un gémissement écœuré qui attire les regards de plusieurs clients.

Le petit bonhomme sort un coussin cousu dans une étoffe rouge exquise, et le place sous son tabouret avant de s'installer. Avec un grand geste de la main très peu discret, et ,pour certaines tribus, dirait on ,irrespectueux, il appel la serveuse. Celle-ci s'approche, et avec son habituel « Qu'est c'que j'vous sert m'sieur ? » demande poliment a l'Halfelin nouvellement arrivé ce qu'il désire.

Celui-ci jauge la serveuse de la tête au pied avant de détourné la tête, apparemment repoussé par son allure.
« -Je veut une table propre ... Et un coulis de Cockatrix relevé à l'aneth verte ... Et vite. »
La brave femme de salle le regarde avec mépris, puis crache sur sa table, et essuie une couche de crasse légère avec son tablier de service.
« -V'là pour la table m'sieur, c'est propre, dit elle d'un ton las.
Et pour vot' coulis de je-sais-pas-quoi, bin on en as pas m'sieur. Une chope de bière sa vous dit ? »

L'étranger se dresse d'un coup sur ses pieds et toise de son seul mètre la serveuse humaine. Il croise alors ces minuscules bras sur son petit torse et s'exclame d'une voie haute et intelligible:
« Vous êtes répugnante ... Brrr ... écœurante ... On m'avais prévenu que les habitant de ces terres argentées était des barbares mais ... Vous êtes pires que sa encore, vous êtes des animaux ... Pleins de puces et de tiques ! Comment osez vous ouvrir une taverne sans même proposé autre chose qu'une bière qui doit sentir la sueur du brasseur et l'urine du tavernier ? Hors de question que je touche a votre poison ! Et vous allez me trouvé une boisson civilisé ... et vite ! Vous ignorez donc qui je suis pour me traité de la sorte ? »

Il jette un regard oblique à la femme qui ne prend apparemment pas ces propos au sérieux du tout vu le sourire idiot apparut sur son visage, se qui rend l'halfelin encore plus furieux.

« Je suis Clash Claouss, retenez bien se nom à l'avenir ! J'ai tuez des dragons, des trolls, des ogres et des magiciens, alors vous pensez que vous allez me faire peur avec votre grimace menaçante d'hystérique stupide et puante ? »

La serveuse continu de sourire, ne sachant que dire à toutes ces insultes et prétentions sûrement irréel. Dans la salle, toute l'attention se porte sur l'étrange et irritant personnage. Le videur de la taverne, un semi-orc bien bâtit, qui était en pleine et passionnante partie de dés, se tourne vers le tavernier en poste derrière son comptoir et l'interroge du regard. Le tavernier comprit la question muettes de l'orc: Fallait il mettre ce nabot dehors avant qu'il mette du grabuge dans la taverne ?
Pris de vitesse, un humain n'ayant pas l'air très malin, mais rouge de colère se leve. Il s'avance vers Clash le regard menaçant, les points fermées.

La taverne de l'ours emplumé n'est plus paisible. Le parfum d'une bonne rixe inégal se repend dans l'air ambiant. L'homme en colère va faire de la charpie du petit semi-homme.

A moins que ?

La situation tourne au vinaigre. L'avait-il mérité ? Pas forcément.
Clash Claouss était toujours en train d'injurier la serveuse quand la brute s'avança vers lui d'un pas menaçant. Une femme se leva de sa table et vint à son secours d'une façon à la fois noble et diplomatique.

« Pardonnez mon ami, il a fait un long voyage pour venir ici et il devient très désagréable quand il est fatigué. Je vais le raccompagner chez moi afin qu'il puisse se reposer. Patron, j'offre une tournée générale ! » dit elle dans un élan de gentillesse. 

La brute fit un signe de tête à la dame, lui indiquant sa compréhension. Apparemment la femme était connue de la taverne et respectée, assez pour que personne ne contredise son autorité. Enfin personne de la taverne.

« -Enlève tes sales pattes de mes épaules toi ! S'exclame Clash en reculant d'un pas qu'il jugeait lui même de digne. Je te connais pas, t'es pas mon amie et je ne fréquente pas les prostituées comme toi... Trois bonnes raisons de pas mettre le moindre pied dans la bicoque crasseuse qui te sert de maison vieille pomme ridée...
Pis pour qui tu m'a pris ?! Je ne suis pas un semi-hommes facile ! »

Il prends alors une pause qui fut, sans aucun doute possible, étudié et répété maintes et maintes fois devant un miroir. Les mains sur les hanches, le menton levée de manière à affirmé son mépris, il tourne son regard vers la gauche sans bougé, comme si il étais en train de chercher dans ces souvenirs ... Comme si.

«-Les plus belles princesses de ma terres natales se sont battues pour m'avoir une seule nuit avec elles, Les plus grands rois de ce monde se sont mit à genoux devant moi pour que j'épouse leurs filles ! »

Ces propos ne tiennent pas la route, et la salle entière s'en rend compte. Lui seul prend ces dires comme véridique. Il est presque comique de voir ce petit homme plus petit qu'une chaise prétendre à tant de prouesse.

«-Mais je te pardonne pour cette fois, car je suis un être bon et bienveillant. »

Son regard emplit de pitié insultante se tourne vers la serveuse avant de se remplir de colère capricieuse.

« Quand à vous, si je n'est pas mon verre de coulis d'ici trente secondes, je vous garantis que ... Vous avez intérêt à vous dépêché! »

La situation tourne encore au vinaigre. L'avait-il mérité ? Absolument.

krys est fatiguée, elle a couru pour échapper a une horde de fous furieux, que voulaient-ils au juste, elle n'en savait rien mais vu leurs regards , ils ne lui voulaient sûrement pas du bien ! Elle avait réussi à les semer et se retrouva devant l’entrée de la taverne de l’ours emplumé, elle connaissait la réputation de cet endroit tranquille !

Elle ouvrit la porte et entra, un bon café lui ferait du bien, pour se remettre de ses émotions !

Elle s’approche du comptoir, discrètement, elle n’aime pas se faire remarquer, et commande son café.

Elle est là, dans sa robe blanche, ses longs cheveux châtains dénoués, debout devant le comptoir. Elle attend patiemment, que la serveuse arrive.

Mais derrière elle tout à coup elle entend une voix d’homme, pas agréable du tout !

« Quand à vous, si je n'est pas mon verre de coulis d'ici trente secondes, je vous garantis que ... Vous avez intérêt à vous dépêché! »

Elle se retourne brusquement, et aperçoit un petit homme bien vêtu, l’air de quelqu’un d’important, mais qui lui parut tout de suite répugnant !
Etait-ce une façon de parler aux gens ! Un minimum de respect tout de même !
Sous son air angélique, la colère la submergeât immédiatement !

Le regard noir qu’elle lui jeta ne laissa aucun doute sur les sentiments qu’elle éprouvait pour lui…
Croisant le regard de la jeune serveuse, elle lui dit :

« Ne vous inquiétez pas, servez ce malotru, j’ai tout mon temps ! «

Malgré son air calme, la jeune femme retenait son souffle et bouillait intérieurement, rien n’y paraissait pourtant !

La serveuse passait et repassait devant elle, l’air contrarié mais une certaine lassitude laissait entendre qu’elle était habituée à ce genre de traitement …

Krys regarda autour d’elle, elle n’avait pas eu le temps de voir qu’il y avait autant de monde, mais surtout, elle s’aperçut que les regards allaient tous vers le petit homme.

Elle se retourna pour voir réellement cet individu !

Elle fut très surprise de voir qu’à coté de ce vil personnage se tenait une femme !

Et pas n’importe qu’elle femme, elle ne la connaissait pas, mais vit au premier coup d’œil qu’elle avait beaucoup de classe ! Rien à voir avec cette demi-portion à coté d’elle, arrogant et imbu de sa personne !

Elle n’était là que depuis quelques minutes et se demanda soudain ce qu’ils pouvaient bien faire ensemble !
La serveuse venait de lui servir son café bien chaud !
Ignorant l’homme insultant, elle prit son café et alla s’asseoir a une table un peu en retrait, mais d’où elle pouvait tout de même apercevoir cet étrange couple ! …
Elle se perdit dans ses pensées, oubliant presque les mots qui l’avaient tant choqué !
Elle était soigneuse, mais parfois son caractère impulsif lui donnait des envies de violences qu’elle avait du mal à refréner ! Elle se demandait si elle avait eu raison de choisir de soigner tout le monde, cet homme là, par exemple, elle l’aurait bien giflé !...

krys est fatiguée, elle a couru pour échapper a une horde de fous furieux, que voulaient-ils au juste, elle n'en savait rien mais vu leurs regards , ils ne lui voulaient sûrement pas du bien ! Elle avait réussi à les semer et se retrouva devant l’entrée de la taverne de l’ours emplumé, elle connaissait la réputation de cet endroit tranquille !

Elle ouvrit la porte et entra, un bon café lui ferait du bien, pour se remettre de ses émotions !

Elle s’approche du comptoir, discrètement, elle n’aime pas se faire remarquer, et commande son café.

Elle est là, dans sa robe blanche, ses longs cheveux châtains dénoués, debout devant le comptoir. Elle attend patiemment, que la serveuse arrive.

Mais derrière elle tout à coup elle entend une voix d’homme, pas agréable du tout !

« Quand à vous, si je n'est pas mon verre de coulis d'ici trente secondes, je vous garantis que ... Vous avez intérêt à vous dépêché! »

Elle se retourne brusquement, et aperçoit un petit homme bien vêtu, l’air de quelqu’un d’important, mais qui lui parut tout de suite répugnant !
Etait-ce une façon de parler aux gens ! Un minimum de respect tout de même !
Sous son air angélique, la colère la submergeât immédiatement !

Le regard noir qu’elle lui jeta ne laissa aucun doute sur les sentiments qu’elle éprouvait pour lui…
Croisant le regard de la jeune serveuse, elle lui dit :

« Ne vous inquiétez pas, servez ce malotru, j’ai tout mon temps ! «

Malgré son air calme, la jeune femme retenait son souffle et bouillait intérieurement, rien n’y paraissait pourtant !

La serveuse passait et repassait devant elle, l’air contrarié mais une certaine lassitude laissait entendre qu’elle était habituée à ce genre de traitement …

Krys regarda autour d’elle, elle n’avait pas eu le temps de voir qu’il y avait autant de monde, mais surtout, elle s’aperçut que les regards allaient tous vers le petit homme.

Elle se retourna pour voir réellement cet individu !

Elle fut très surprise de voir qu’à coté de ce vil personnage se tenait une femme !

Et pas n’importe qu’elle femme, elle ne la connaissait pas, mais vit au premier coup d’œil qu’elle avait beaucoup de classe ! Rien à voir avec cette demi-portion à coté d’elle, arrogant et imbu de sa personne !

Elle n’était là que depuis quelques minutes et se demanda soudain ce qu’ils pouvaient bien faire ensemble !
La serveuse venait de lui servir son café bien chaud !
Ignorant l’homme insultant, elle prit son café et alla s’asseoir a une table un peu en retrait, mais d’où elle pouvait tout de même apercevoir cet étrange couple ! …
Elle se perdit dans ses pensées, oubliant presque les mots qui l’avaient tant choqué !
Elle était soigneuse, mais parfois son caractère impulsif lui donnait des envies de violences qu’elle avait du mal à refréner ! Elle se demandait si elle avait eu raison de choisir de soigner tout le monde, cet homme là, par exemple, elle l’aurait bien giflé !...