Partie 1: Naissance et jeunesse
Chapitre 1: Une première vocation
Moi, un homme aujourd'hui bien grand qui naquit dans un hurlement, celui de sa mère qui accouchait à grand peine, elle me saisit dans ses bras.
« Il est si petit, ça a beau ne pas être le premier c'est extraordinaire... »
Elle me garda contre elle pendant plusieurs minutes puis une femme vint me lui prendre pour me laver et m'habiller.
De retour à la maison, mon père et mes frères et soeurs m'accueillirent avec chaleur et attention.
Je fûs élevé jusqu'à ma seizième année avec honneur par mes parents puis je décidai d'apprendre à manier les armes et m'en alla chez des amis guerrier.
J'avais bientot 16 ans et voulais, passionné par les armes apprendre à me barre , des amis de mes parents lui apprirent l'art de me battre à mains nus d'abord, je travaillais les arts martiaux et l'homme avait engagez un tueur repanti:
« Allez Imesis, s'adressa Mystique le tueur engagez par Grandiard l'oncle, il faut que tu travailles encore et encore. »
« Je veux bien mais tu es bien trop rapide et agilie pour moi. »
A ce même moment Mystique enfonçait ces doigts dans mes côtes, ce qui lui fit sortir un cri de douleur:
« AAARRRRGGGGHHHHH !!!!!! »
]« Tu as vu, travailles ta rapidité, concentre toi et tu seras un très grand guerrier, cependant je crois qu'il est tant pour toi que tu aprènes le maniment des armes. Mais il est bien trop tard !! Allons nous couchez demain je te montrerai mon tout premier sabre. »
Agathe faisait des plats radieux, je m'en goinffra et en reprit trois fois, il faut dire que l'escalochade de porc était un met succulent quand il était bien réussi:
« -Ch'adore tes plats ch'ante ach'ate. »
« Allons petit garnement, fini de manger avant de parler !! »
Me dit-elle avec un air faussement énervé. Le lendemain arriva et je me réveillai, Mystique m'attendait déja, je s'échauffait en quatrième vitesse et saisit le sabre que me lançait Mystique, il était vrai que ce sabre était usé et on aurait di qu'il sortait de la préhistoire mais peu importe car je se sentis invincible avec ce sabre aussi usé soit-il !!
« Nous allons commencez l'entrainement ! »
« Je n'attend que sa. »
« Je suis prêt attaque moi comme si ta vie en dépendait, ne t'inquiète pas je doute sur ma vie que tu puisse me tuer lors de ton premier entrainement !! »
Je s'élançai avec une rapidité et une agilité qui surpris Mystique qui ne s'attendait pas à pareil attaque !!
« Fait quand même attention »
S'écria l'ex-tueur en mettant un bandage autour de son bras qui saignait légèrement.
« -Excuse-moi, tu m'as di de faire comme si ma vie en dépendait. »
« Allons reprenons, cette fois je me tiendrai sur mes gardes. »
Le soir arriva vite et c'est avec une énergie encore débordante que je m'assis à la table. Quelq'un sonna à la porte, l'ami alla ouvrir, un homme vêtu d'habit de cuir sombre demanda à voir Mystique, on l'appella et alla dehors converger avec l'autre homme !! On ne revit plus Mystique de la soiré. Le lendemain Je le cherchai partout en vain...Mystique était parti sans dire un mot.
Deux ans plus tard, devenu un guerrier assez fort, je fus mêlé à une histoire de meurtre assez sordide, j'allai voir le coupable dans les oubliettes de Silver City. Je découvris un homme ressemblant étrangement à Mystique, qui se maintenait physiqement.
« Mystique c'est toi ? »
« Bien sur que c'est moi »
L'homme aprochait des barreaux avec la rage du tueur dans les yeux, Je m'en s'éloigna la peur au ventre. Même si Mystique avait été un tueur et l'était redevenu, je ne pouvais me résigner à le considérer comme un assassin idée qu'il était la seule poissible. Je continuai ma quête contre les tueurs. Je n'oublierai jamais une chose. On a peut-être délaisser quelque chose, mais un être réveil toujours cette chose, Et quel qu'elle soit, on ne peut jamais oublier les être que l'on a aimé, même si ils sont redevenus les pires barbares du monde, on garde que le meilleur des personnes en espérent que leur malheur cesseront et ne se réveilleront plus jamais...
Plusieurs jours passèrent et j'étais de retour chez moi, ma mère tentait de me réconforter.
Je levai la tête et la vie le regard plein de compassion, je fût pris d'une envie subite de pleurer et m'effondra sur sa mère. L'épaule maternelle me reconforta avec beaucoup de mal.